Conan le cimmérien - Chimères de fer dans la clarte lunaire

Virginie Augustin (Scénario, Dessin, Couleurs)

3.75/5
BDFugue loves
Parution 12 juin 2019
Pages 72
Format Couverture rigide
Genre Aventure BD
Éditeur GLENAT
Résumé
Sur une île, le danger ne vient pas toujours de l'extérieur...Une jeune femme en danger est poursuivie par son vil maître. Conan, dont les siens viennent d'être décimés par ce même maître, met un terme à la cavale de la belle et la sauve d'un coup d'épée. Liés par le destin, le couple décide alors de prendre la route ensemble. Leur périple les mène sur une île où ils découvrent sur place d'étranges ruines habitées par une sombre magie. Leur refuge paradisiaque se transforme aussitôt en huis clos étouffant où rodent les ombres. Qui sait l'étendue des dangers qui y résident... ?<br>Nouvelle considérée comme mineure dans l'oeuvre d'Howard, Chimères de fer dans la clarté lunaire est toutefois révélatrice du génie de son auteur à décrire des univers aussi singuliers que mystérieux. Par son trait à la fois délicat et puissant, Virginie Augustin sublime cette atmosphère oppressante et mystique et lui offre un nouveau souffle graphique.
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Détails

Avis et notes

3,75 8 notes
5 étoiles 0%
4 étoiles 75%
3 étoiles 25%
2 étoiles 0%
1 étoile 0%
ginevra
ginevra Publié le
4/5
Le hasard met entre les mains de Conan le shah Amurath qui a massacré les Kozaki avec lesquels Conan combattait. Ce n'était pas lui que cherchait le shah mais Olivia une de ses esclaves-concubines en fuite. Une fois le shah tué, Olivia suit Conan jusque dans une île où un temple étrange et inquiétant subsiste. Il est intéressant que ce soit une autrice qui ait choisi de dessiner une aventure de Conan où une femme joue un rôle un peu plus intéressant que l'on pouvait s'y attendre. En effet, c'est Olivia qui coupe les liens de Conan prisonnier de pirates et c'est elle qui perçoit en premier le côté maléfique du temple. A nouvel auteur, nouveau look pour Conan qui apparait ici plein de muscles, en culotte de fourrures et avec des cheveux longs. Virginie Augustin est resté dans une image classique du barbare tel que divers média l'ont montré. Les statues de fer ont un aspect des plus inquiétants et le massacre des pirates en une pleine page est plutôt horrible et très dynamique côté mouvements. Les paysages de marais ou de jungle sont oppressants et baignés d'une lumière verte très réaliste. Le temple est superbe et m'a évoqué un mélange de temples aztèques et crétois.Un bon album qui ne dépare pas dans une excellente série.
Le hasard met entre les mains de Conan le shah Amurath qui a massacré les Kozaki avec lesquels Conan combattait. Ce n'était pas lui que cherchait le shah mais Olivia une de ses esclaves-concubines en fuite. Une fois le shah tué, Olivia…
bd.otaku
bd.otaku Publié le
3/5
On attendait avec impatience ce 7eme opus de la série « Conan le Cimmérien » parce qu’il était l’adaptation par un trio aguerri et reconnu de la longue nouvelle crépusculaire « les clous rouges » considérée comme le chef d’œuvre de Robert E Howard. S’il s’agit d’un album agréable et divertissant au très beau dessin et au découpage maîtrisé et efficace, on regrettera son manque de profondeur et une pagination trop étriquée. On soulignera surtout un puritanisme de mauvais aloi qui récuse l’une des dimensions essentielles du texte source : l’érotisme. Choix éditorial sans doute, mais choix contestable …
On attendait avec impatience ce 7eme opus de la série « Conan le Cimmérien » parce qu’il était l’adaptation par un trio aguerri et reconnu de la longue nouvelle crépusculaire « les clous rouges » considérée comme le chef d’œuvre de Rob…
Benjamin Roure
Benjamin Roure Publié le
4/5
C’est sans ambages mais palpitant, parfois franchement flippant, et finalement terriblement humain. Comme quoi, avec un coup de crayon léger et inspiré – et une mise en couleurs hyper léchée –, on peut éclairer sous un jour nouveau une histoire a priori bien peu originale et moderne.
C’est sans ambages mais palpitant, parfois franchement flippant, et finalement terriblement humain. Comme quoi, avec un coup de crayon léger et inspiré – et une mise en couleurs hyper léchée –, on peut éclairer sous un jour nouveau une…