Un tout petit bout d'elles

4,0

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  • Benoît Cassel de planetebd.com

    Un ouvrier chinois qui travaille au Congo tombe amoureux d'une femme et découvre la mutilation sexuelle qu'elle a subie. Une belle histoire d'amour qui aborde avec une grande sensibilité la terrible tradition de l'excision. Zidrou à nouveau impérial.

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  • Thierry de BDfugue Annecy

    Le sujet du livre est terrible ! Mais il est traité avec beaucoup de finesse et d'émotion. Le dessin est clair, les couleurs apaisantes, comme en contraste avec la dureté des situations décrites...

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  • Laure de BDfugue Grenoble

    À travers une histoire d'amour touchante, Zidrou et Raphaël Beuchot abordent avec justesse et réalisme le sujet délicat de l'excision, qui est une pratique encore extrêmement répandue en Afrique.

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  • Blandine de BDfugue Besançon

    Après Le montreur d'histoires et Tourne disque Zidrou et Raphael Beugnot s'attaquent à un sujet dramatique que sont les MGF (mutilations génitales féminines) qui, de nos jours, continuent d'être pratiquées sur des fillettes partout dans le monde...

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  • Angéline de BDfugue.com

    Une BD qui fait prendre conscience d'une pratique barbare subie par grand nombre de femmes notamment en Afrique du Sud. Paradoxalement, les dessins sont très beaux et très colorés. Cela évite une lecture pesante. Bref, un livre à lire !

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  • Le Korrigan de Les Sentiers de l'Imaginaire

    Malgré son apparente léger et sa touche poétique, le titre polysémique masque une réalité tragique que Zidrou et Raphaël Beuchot abordent avec pudeur et délicatesse, mais sans rien édulcorer de la violence faite aux femmes au nom des traditions. Car si elle est dénoncée par l’ONU et souvent interdite, l’excision est encore et toujours pratiquée dans de trop nombreux pays…

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  • S. Salin de BDGest

    il est cependant dommage que Benoit Drousie ne se soit pas attaché à expliquer en profondeur les raisons qui font encore que plus de 130.000 fillettes sont mutilées chaque année. Annexé d’un complément qui permet de se rendre compte de l’étendue du drame, un tout petit bout d’elles bénéficie de la sobriété du dessin de Raphaël Beuchot qui, par sa gestion des couleurs, adoucit singulièrement la dureté du propos et renforce l’anachronique détermination de ses héros.

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  • Laurence Le Saux de Bodoï

    le finaud Zidrou surprend, emmenant ailleurs, au fil d’un propos engagé contre une atroce pratique culturelle. Fouillés, humains et attachants, ses personnages sont finement ciselés : Yue ne laisse pas la différence amoindrir ses sentiments ; Antoinette s’ouvre à l’étranger, finit par dévoiler son secret. Le trait sans aspérités, mais fort lisible, de Raphaël Beuchot (déjà collaborateur de Zidrou pour Le Montreur d’histoires et Tourne-disque) finit de donner à cette histoire en apparence légère une profondeur marquante.

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