S'enfuir - récit d'un otage

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  • Thierry de BDfugue Annecy

    Guy Delisle est décidément un maître de la narration ! Tous les écueils de ce type d'histoire sont brillamment contournés, par la grâce d'un découpage impeccable et d'un dessin faisant mouche à chaque case !!!

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  • Laure de BDfugue Grenoble

    1997, Christophe André travaille pour une ONG dans le Caucase. Une nuit, il est enlevé. Il restera séquestré pendant près de 4 mois. Guy Delisle nous raconte avec justesse son quotidien d'otage, long et angoissant.

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  • Thomas de BDfugue.com

    Christophe André est enfermé 4 mois. Seul dans sa tête, c'est le doute et le questionnement permanent qui l'occupe, plus que la peur...
    Guy Delisle nous prend en otage pendant 400 pages et comme à chacun de ses ouvrages, l'apparente simplicité du trait et du verbe cache un travail d'orfevre du 9ème art.

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  • Benoît Cassel de planetebd.com

    En 1997, Christophe André, un humanitaire de MSF, est pris en otage par des tchétchène : 4 mois de captivité qui vont lui paraître une éternité. Un témoignage poignant de 432 pages illustré par Guy Delisle.

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  • Cedric de LA BANDE DU 9

    Guy Delisle relate la capture et la détention d’un otage. Loin des Ingrid Betancourt et autre Florence Aubenas, il raconte, avec minutie, le quotidien particulièrement lassant et éprouvant de la vie d’otage ordinaire.  Une plongée dans un univers assez méconnu. Une vraie réussite.

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  • L. Cirade de BDGest

    Qu’importe, les gros bouquins de Mr Delisle, derrière une simplicité de façade, sont des fenêtres uniques ouvertes sur des théâtres où s’écrit l’actualité (sinon l’Histoire) du monde contemporain. Moins informatif que d'habitude, plus axé sur l’épreuve individuelle, ce dernier-publié n’en est pas moins incontournable.

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  • Stéphane Jarno de Télérama

    Et il est difficile, hélas, de s'attacher, d'éprouver de l'empathie pour un personnage qui relève davantage d'une abstraction que d'un être de chair et de sang...

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  • Benjamin Roure de Bodoï

    Avec sa ligne frêle et une palette réduite de gris, il transforme le journal intérieur de Christophe en aventure immobile palpitante et touchante. Un vrai coup de maître compte tenu de la difficulté du projet.

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