Epiphania tome 1
Ludovic Debeurme (Scénario, Dessin, Couleurs)
Parution 13 sept. 2017
Pages 120
Format Couverture rigide
Genre BD Science-Fiction
Éditeur CASTERMAN
Résumé
La Terre, menacée par l'espèce humaine, a créé son armée : les « Epiphanians .
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Epiphania tome 1
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Epiphania tome 1
Réf. 9782203112186
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CHOUCABU
Publié le
Cette BD commençait bien. Mais dès lors que les mutants ont des têtes de cochon, de chien ou d'éléphant cela devient complètement ridicule et tordu. En restant plus sobre, cette BD aurait pu être recommandée mais comme ceci c'est vraiment nul
Cette BD commençait bien. Mais dès lors que les mutants ont des têtes de cochon, de chien ou d'éléphant cela devient complètement ridicule et tordu. En restant plus sobre, cette BD aurait pu être recommandée mais comme ceci c'est vraim…

Laurent
Publié le
Ce récit fantastique, dont c'est ici le premier volet, s’ouvre sur la vie ordinaire d’un couple qui cherche à retrouver l’amour au moyen d’un stage de coaching sur une île déserte, alors que leur premier enfant doit bientôt venir au monde. Mais un tsunami vient balayer subitement le havre de paix où ils séjournent, et l’homme perd sa femme dans la catastrophe. De retour chez lui, il découvre dans son jardin qu’un fœtus s’apprête à sortir de terre, alors que les chaînes d’information annoncent des cas similaires dans tout le pays. D’abord révulsé par la créature, il va décider de l’adopter et l’élever. Mais comme tous les mixbodies, l’enfant grandit très vite et possède des caractéristiques physiques qui vont l’exposer au rejet de ses camarades humains dès son entrée à l’école.
Si la thématique abordée ici évoque incontestablement les X-Men (ces mutants aux pouvoirs extraordinaires qui doivent se cacher pour se protéger des hommes), celle-ci est traitée sur un mode beaucoup moins spectaculaire, davantage philosophique. La peur de la différence et le rejet de l’autre constituent un sujet on ne peut plus actuel. Avec « Epiphania », Ludovic Debeurme nous ramène à la crise actuelle des migrants qui fuient des pays ravagés par la guerre et la misère, menaçant l’équilibre de nos contrées « tranquilles et prospères » en faisant ressurgir des vieux démons qu’on croyait disparus. Mais ici, contrairement à la plupart des images diffusées par les grands médias, les parias ont un visage, ils ont des peurs, des doutes, savent aussi aimer et ne demandent qu’à vivre en paix comme tout le monde… sauf si bien sûr ils se sentent menacés…
Pour ce qui est du dessin, Debeurme recourt à une ligne claire dépouillée, donnant corps à un univers qui rappelle immanquablement le « Black Hole » de Charles Burns, en plus lisse et dans des tons pastels un rien insipides. Mais la comparaison s’arrête là, car le scénario reste extrêmement fluide et accessible. L’auteur n’est pas vraiment un nouveau venu dans la bande dessinée, avec plusieurs publications à son actif depuis quinze ans, principalement chez Cornélius et Futuropolis. Déjà récompensé pour « Lucille » à Angoulême, il nous propose ici une fable très intrigante, à la fois fantastique et humaniste, qui réussit à donner au lecteur l’envie de connaître la suite.
Si la thématique abordée ici évoque incontestablement les X-Men (ces mutants aux pouvoirs extraordinaires qui doivent se cacher pour se protéger des hommes), celle-ci est traitée sur un mode beaucoup moins spectaculaire, davantage philosophique. La peur de la différence et le rejet de l’autre constituent un sujet on ne peut plus actuel. Avec « Epiphania », Ludovic Debeurme nous ramène à la crise actuelle des migrants qui fuient des pays ravagés par la guerre et la misère, menaçant l’équilibre de nos contrées « tranquilles et prospères » en faisant ressurgir des vieux démons qu’on croyait disparus. Mais ici, contrairement à la plupart des images diffusées par les grands médias, les parias ont un visage, ils ont des peurs, des doutes, savent aussi aimer et ne demandent qu’à vivre en paix comme tout le monde… sauf si bien sûr ils se sentent menacés…
Pour ce qui est du dessin, Debeurme recourt à une ligne claire dépouillée, donnant corps à un univers qui rappelle immanquablement le « Black Hole » de Charles Burns, en plus lisse et dans des tons pastels un rien insipides. Mais la comparaison s’arrête là, car le scénario reste extrêmement fluide et accessible. L’auteur n’est pas vraiment un nouveau venu dans la bande dessinée, avec plusieurs publications à son actif depuis quinze ans, principalement chez Cornélius et Futuropolis. Déjà récompensé pour « Lucille » à Angoulême, il nous propose ici une fable très intrigante, à la fois fantastique et humaniste, qui réussit à donner au lecteur l’envie de connaître la suite.
Ce récit fantastique, dont c'est ici le premier volet, s’ouvre sur la vie ordinaire d’un couple qui cherche à retrouver l’amour au moyen d’un stage de coaching sur une île déserte, alors que leur premier enfant doit bientôt venir au mo…

La Rédaction
Publié le
Ce premier tome empreint de science-fiction soulève des problématiques bien réelles de la société actuelle : l’intégration de minorités, l’appartenance sociale et l’adolescence accompagnée de ses incertitudes. Epiphania, c’est avant tout une histoire d’humanité.
Ce premier tome empreint de science-fiction soulève des problématiques bien réelles de la société actuelle : l’intégration de minorités, l’appartenance sociale et l’adolescence accompagnée de ses incertitudes. Epiphania, c’est avant to…