Motor girl

Bien que différent de «Strangers In Paradise» ou de «Rachel Rising», ce one shot du grand Terry Moore est une véritable pépite.
«Motor Girl» est beaucoup plus condensé que les 2500 pages de sa série phare ou les 800 pages de «Rachel».
Mais ce n’est en rien un défaut. Bien au contraire. Je trouve que cet album est plus abouti et plus cohérent que certains épisodes de deux autres séries.
Qui plus est, les deux personnages principaux, Samantha, ancienne militaire traumatisée par la guerre, et son ami Mike, un gorille garagiste (!), sont extrêmement attachants et superbement campés graphiquement. Moore est à son sommet.
Une histoire sensible et prenante qui ne vous lâchera pas dans ce désert où sévit aussi une grand-mère azimutée et harcelée par deux branques qui en veulent à son garage paumé et où, par hasard, pullulent de mystérieuses soucoupes volantes.
Et puis la relation entre Sam et Mike n’est pas sans rappeler le duo «Calvin et Hobbes».

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Scénario extra, personnages attachants, ouvrage à lire et à relire...

Même si cela n'était pas nécessaire, Terry Moore nous prouve à nouveau qu'il est un génie. Vive Terry Moore, vive Motor Girl.

Motor Girl propose une histoire touchante et profonde sur les suites de traumatismes de guerre d’une femme. Tout le talent de Terry Moore est concentré dans cette histoire complète, qui oscille entre l’humour et la tristesse. A lire !

Samantha a le sydrome post traumatique du vétéran. Mais maintenant elle est tranquille, toute seule dans cette casse. Enfin, presque toute seule : elle est avec Mike le gorille, son ami imaginaire. Un récit poétique et poignant.

Après trois séjours au front, Samantha revient aux Etats-Unis… Seulement, elle est touchée par le Syndrome de Stress Post-traumatique et elle peine à se réintégrer au monde civil… Son seul ami ? Un gorille imaginaire. Ensemble, ils vont assister à un drôle de spectacle : le crash d’une soucoupe volante… Une histoire à la fois drôle et émouvante !

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