Eden tome 1 - Le visage des sans noms
Fabrice Colin (Scénario) | Carole Maurel (Dessin, Couleurs)
Parution 12 sept. 2018
Pages 80
Format Couverture rigide
Genre Aventure BD
Éditeur RUE DE SEVRES
Résumé
Depuis un tremblement de terre, Phoenice, anciennement San Francisco, est divisé en deux zones : les quadrants, où vit la majeure partie de la population, et le coeur, où vivent les élus, protégés par un mur et détenant tous les pouvoirs. Jonas, 14 ans, vit avec sa mère dépressive, un père révolutionnaire et une soeur qui vient de réussir l'Ascension, un concours pour intégrer les élus.
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Eden tome 1
Réf. 9782369814511
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Avis et notes
3,67
3 notes
5 étoiles
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Benjamin Roure
Publié le
Voilà donc un premier volume prometteur, qui a su titiller l’intérêt. À confirmer, par des développements qu’on espère solides, dans les volumes suivants.
D. Roy
Publié le
Malgré quelques petits défauts ici et là, Eden et son tome 1 le visage des sans-noms, présente suffisamment d'arguments pour convaincre d'aller plus loin.
Geoffrey
Publié le
Dire que le déséquilibre entre les "élites" et le peuple à atteint son point de rupture est un euphémisme ! Fabrice Colin et Carole Morel évoque avec brio l'éveil des conscience, dans une société ou le respect de l'être humain à disparu puisque certaines vies n'ont plus de valeurs. Et si l'étincelle de la révolte allumait un brasier dévorant ?!
Dire que le déséquilibre entre les "élites" et le peuple à atteint son point de rupture est un euphémisme ! Fabrice Colin et Carole Morel évoque avec brio l'éveil des conscience, dans une société ou le respect de l'être humain à dispar…
Tous les avis
Benjamin Roure
Publié le
Voilà donc un premier volume prometteur, qui a su titiller l’intérêt. À confirmer, par des développements qu’on espère solides, dans les volumes suivants.
D. Roy
Publié le
Malgré quelques petits défauts ici et là, Eden et son tome 1 le visage des sans-noms, présente suffisamment d'arguments pour convaincre d'aller plus loin.
Geoffrey
Publié le
Dire que le déséquilibre entre les "élites" et le peuple à atteint son point de rupture est un euphémisme ! Fabrice Colin et Carole Morel évoque avec brio l'éveil des conscience, dans une société ou le respect de l'être humain à disparu puisque certaines vies n'ont plus de valeurs. Et si l'étincelle de la révolte allumait un brasier dévorant ?!
Dire que le déséquilibre entre les "élites" et le peuple à atteint son point de rupture est un euphémisme ! Fabrice Colin et Carole Morel évoque avec brio l'éveil des conscience, dans une société ou le respect de l'être humain à dispar…
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