Tous les héros s'appellent Phénix

3,9

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  • Yoann de Comixtrip

    Cette bande dessinée est émouvante, glaçante. J’en ressors chamboulé, ému, les larmes aux yeux… en 2019 j’avais ressenti la même chose à la lecture de « Speak » toujours chez Rue de Sèvres et je l’avais classé comme meilleur roman graphique de l’année.

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  • Xavier de BDfugue Nice

    Un roman graphique de qualité de plus chez rue de Sèvres ! Une jeune ado et sa soeur voit arriver dans leur vie un nouveau beau-père qui est aussi un de leur profs. Une histoire intimiste qui fait montée l'angoisse crescendo. Le scénario prend aux tripes. Impossible de vous laisser insensible !

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  • Gaëlle de BDfugue Annecy

    Sur le sujet plus que délicat de la maltraitance des enfants, cette adaptation du roman éponyme ne nous épargne pas. Personnellement je ne lis pas pour être épargnée mais pour être émue. C'est donc carton plein pour cette BD qui décortique le mécanisme de ce drame de manière remarquable.
    

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  • L. Moeneclaey de BDGest

    À cause d'un manque de force narrative, de surprise et de vraisemblance, ce livre au réel potentiel dramatique n'atteint pas l'objectif d'émouvoir et tombe dans la platitude d'un fait divers. Dommage.

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  • Olga de BDfugue Toulouse

    Cet album décrit avec justesse l'escalade sourde des violences domestiques et psychologiques.
    
    Le scénario bien ficelé avance peut être un peu rapidement et l'on a du mal à s'attacher à Phénix, l'héroïne, tant elle paraît distante.
    
    Cela n'en reste pas moins un bon album qui aborde un thème lourd sans jamais tomber dans le pathos.

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  • Sébastien de LA BANDE DU 9

    Une BD bouleversante, intrigante, où certaines rencontres peuvent vite se transformer en cauchemar ! Intimiste, précis, et violent, un texte sur un sujet délicat abordé intelligemment par l’auteure , démontrant que la honte ne doit pas s’abattre sur la victime et que se soustraire au reste du monde ne fait qu’empirer les choses.

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  • Benjamin Roure de Bodoï

    La chronique familiale se mue sur la fin en thriller à suspense, faisant légèrement pencher la balance du côté de la fiction trépidante que de la dénonciation des violences intra-familiales. Mais c’est pour mieux alerter et crier la douleur des enfants victimes de ces bourreaux qu’ils étaient censés aimer. Une bande dessinée qui prend aux tripes mais demeure accessible dès 11 ans.

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