San-Antonio tome 2 - Si ma tante en avait

Name: San-Antonio tome 2
SKU: 9782203172722
Price: 16 EUR
Availability: InStock
Rating: 78 (11 reviews)

Michaël Sanlaville (Scénario, Dessin, Couleurs)

3.91/5

Parution 10 juin 2020

Pages 96

Format Couverture rigide

Genre Polar BD

Éditeur CASTERMAN

Résumé

Le commissaire San-Antonio prend du bon temps en Bretagne ! Achille, le chef de la police parisienne, se fait muter à Ploumanac’h Vermoh avec toute son équipe (San-A, Béru, Pinaud...). En effet, prévenu par les Américains qu’un cargo russe transportant un arsenal nucléaire croisait au large des côtes bretonnes, il organise une opération discrète pour le stopper. Mais il n’en informe par San-A, afin d’en retirer tous les honneurs en cas de réussite. Deux marins bretons sont missionnés pour faire le coup (1 : détruire le phare, 2 : détruire le gouvernail du cargo pour le forcer à s’échouer sur la côte). Mais la belle mécanique se grippe lorsqu’un des deux sbires est retrouvé mort dans le port de Ploumanac’h. San-Antonio mène l’enquête, entre ivrognes, veuve nympho et marins intrépides !

Toutes les offres

Vendeur

État

Prix + Livraison

Les offres concernent cet article : San-Antonio tome 2 SKU.9782203172722

Toutes les éditions

EDITIONS

Retrait en librairie

San-Antonio tome 2

Réf. 9782203172722

Vendez le vôtre

State/Condition

Prix Meilleur prix :

Quantité Si vous disposez de plusieurs exemplaires, leur état doit être similaire

Référence interne

Commentaire ( characters max) * Champs obligatoires

Détails

Référence :

9782203172722

Dimensions :

23,1 x 30,5 cm

Genre(s) :

BD Polar

editeur :

CASTERMAN

Auteur(s) :

Michaël Sanlaville (Scénario, Dessin, Couleurs)

Reliure :

Couverture rigide

Poids :

716 g

Nombre de pages :

Langue :

Français

Série :

San-Antonio

Tome :

Titre album :

Si ma tante en avait

date de parution :

10 juin 2020

Avis et notes

3,91 11 notes

5 étoiles 27%

4 étoiles 45%

3 étoiles 18%

2 étoiles 9%

1 étoile 0%

Rédiger un avis

Pour rédiger un avis, il faut être connecté. Me connecter ou créer un compte

Franck Publié le 26 mars 2021 Achat vérifié

4/5

Une adaptation du truculent Frédéric Dard qui, je pense, l'aurait apprécié. Le dessein et le scénario sont agréables à feuilleter.

vedge Publié le 10 mars 2021

3/5

Une version BD tonitruante en droite ligne de la série des romans éponymes, dans l'illustration et le rythme endiablé du récit.

Le Korrigan Publié le 28 septembre 2020

4/5

Amateurs de Frédéric Dard, ruez-vous sans tarder sur ce nouvel opus des aventures de San Antonio mis en image par le truculent Michaël Sanlaville, grand admirateur de l’œuvre, comme il le confesse avec humour dans la planche refermant l’album… Son trait formidablement dynamique sait se faire sensuel et irrévérencieux pour interpréter avec un humour féroce et mordant l’impeccable partition du créateur du commissaire San-Antonio qui va se retrouver battu par les embruns à démêler l’écheveau d’une enquête particulièrement tordue… Si ma tante en avait est un album dépaysant à plus d’un titre, à dévorer sans attendre mais à ne pas lire sur les plages recouverte d’algues vertes et de mouettes mazoutées de Bretagne, des fois que vous croisiez la route d’un repenti alcoolique de l’O.L.B… Ah moins que vous n’ayez très envie d’avoir votre quart d’heure de célébrité… à titre posthume…

Tous les avis

Non renseigné Publié le 19 janvier 2023

5/5

Franck Publié le 26 mars 2021 Achat vérifié

4/5

Une adaptation du truculent Frédéric Dard qui, je pense, l'aurait apprécié. Le dessein et le scénario sont agréables à feuilleter.

vedge Publié le 10 mars 2021

3/5

Une version BD tonitruante en droite ligne de la série des romans éponymes, dans l'illustration et le rythme endiablé du récit.

Le Korrigan Publié le 28 septembre 2020

4/5

Le Télégramme Publié le 31 août 2020

4/5

Attention. Cette BD ne va pas plaire, mais alors pas du tout, à tous ceux qui aiment le politiquement correct, la novlangue truffée d’anglicisme, aux bobos, aux censeurs de tout poil, aux anti-tout, aux féministes, à ceux qui détestent l’argot… San-Antonio, c’est du lourd, de la gaudriole, de la Gauloiserie à deux balles, un humour très siècle dernier, qui fait penser furieusement aux « Tontons Flingeurs ».

Benjamin Roure Publié le 20 juillet 2020

2/5

Au-delà d’une misogynie d’un autre âge, cette accumulation d’humour gras et de calembours graveleux aura bien du mal à séduire au-delà du fan club de base de San-Antonio. Les autres n’iront sans doute pas au-delà des dix premières pages, ou alors achèveront la lecture écœurés ou simplement pantois devant une si vaine vulgarité.

J. Milette Publié le 20 juillet 2020

3/5

Une agréable adaptation où la forme et le fond rappellent le travail de l’écrivain décédé en 2000.

Hervé Publié le 20 juillet 2020

4/5

la saveur des polars de Frédéric Dard, la désinvolture du héros-narrateur, le recours à l’humour et l’emploi de l’argot. Un véritable dictionnaire d'argot, une bible d'expressions et de jeux de mots, pour une BD qui pour passer distrayante n'en reste pas difficile à saisir.

Benoît Cassel Publié le 13 juillet 2020

4/5

Muté en Bretagne avec son équipe, San-Antonio s’ennuie ferme. Jusqu’au jour où un décès bouscule la tranquillité de la bourgade. Une seconde aventure fidèle à l’œuvre originale de Frédéric Dard.

Paul Publié le 15 juin 2020

5/5

San-Antonio et son équipe sont mutés en Bretagne pour ce qui ressemble à une sanction. Mais l'arrivée des parisiens semble déclencher des événements meurtriers dans le paisible port de pêche...
Michaël Sanlaville réussit avec brio la passage du roman à la BD et les différentes caricatures ça et là rajoutent du plaisir de lecture. Un grand bravo à l'auteur pour cette adaptation qui était sans conteste casse-gueule !

Vincent Publié le 12 juin 2020

5/5

Nouvelle adaptation de San Antonio par le surdoué Michael Sanlaville, révélé au grand public sur Lastman. La narration est ultradynamique, les dialogues sans concession, les caméos nombreux, juste ce qu'il faut de sexy, d'humour, de truculence... pour offrir une nouvelle lecture à l'univers culte de Frédéric Dard.