Nous, les morts tome 1 - Les Enfants de la peste

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  • Patrick de BDfugue Besançon

    Tout commence en Europe en l'an de grâce 1348. Suite à une épidémie, les morts reviennent à la vie. L'église pense à l’Avènement du paradis sur terre et à l’Éternité, mais bien vite une envie de vie les submergea. La colonisation de notre continent pouvait commencer alors qu’ailleurs, pendant 700 ans, les civilisations non touchées évoluaient de façon différente dont un prince inca avide de connaissance et de curiosité. Voici une uchronie originale soulignée par le style de Kordey qui sied à merveille pour cette histoire. Un dessin proche de Corben réservé à un public adulte.

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  • Jérome de Un amour de BD

    Il serait dommage de passer à côté de cette perle vintage. Imaginez que Corben et Rosinski, après quelques fêtes sous acides avec leurs potes de Métal Hurlant, aient eu deux Fils : ils s’appelleraient Darko et Igor et, comme papas, ils feraient de la BD… Dans cet album, on retrouve tous les ingrédients de cette crise d’adolescence, mais sans arrière-goût de plagiat ni de mélancolie. Juste avec délice.

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  • Benoît Cassel de planetebd.com

    Les incas sont confrontés aux survivants zombies d'une épidémie de peste en Europe. Premier épisode d'une uchronie improbable, mais très accrocheuse, dessinée par Igor Kordey. Prévue en quatre tomes.

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  • vedge de BD Sanctuary

    Le narrateur, prêtre survivant de l'épidémie de peste qui a ravagé l'Europe au 1-ième siècle, hésite entre croire et maudire, entre bonheur de vivre et malheur de sa condition de mort-vivant.A l'autre bout du monde, un roi Inka, au crépuscule de sa vie, ne voit lui, dans cette immortalité, que la possibilité de règne éternel.Le décalage est constant dans le récit, dans le propos, les personnages, les m?urs, et la référence à Dieu.L'histoire est intéressante, le dessin et les couleurs parfois déstabilisants.Le tout est original dans le ton et les fondements du propos.

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  • Benjamin Roure de Bodoï

    un plaisant divertissement horrifique à grand spectacle, pas toujours très fin mais suffisamment ambitieux pour qu’on aille dévorer la suite de cette série en quatre tomes, dont le deuxième arrive dès juin.

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  • Faisandinho

    Pas de quoi sauter au plafond. Le dessin m'a dérangé et malgré un très bon pitch de base, j'ai été rapidement perdu par cette profusion de couleurs brouillon. Au deuxième tome, ça passe ou ça casse

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