Largo Winch tome 23 - La frontière de la nuit

Cet album m'a donné un regain d’intérêt pour la série largo winch un peu étouffée par la haute finance.
Un renouveau, un album palpitant et beaucoup plus dans l'action .
Ce tome vous laissera sur votre faim, car il est a suivre dans le tome 24 ( pas sortie ) et donc sur un gros cliffhanger.

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Toujours au top de l'aventure

Comme toujours, l'illustration est magnifique. L'histoire fait bon usage de sujets contemporains.

Se présentant sous des pseudonymes dignes des meilleurs OSS 117, Largo Winch (devenu brun pour l’occasion) et deux de ses acolytes arrivent à la mine Silky. Largo se présente comme grossiste international en composants pour batteries de smartphones et voitures électriques, et sa collègue pour une négociante en étain à la recherche de nouveaux producteurs. L’équipe Winch découvre rapidement que parmi les travailleurs exploités dans cette mine, il y a des enfants, la plupart orphelins. Largo a beau être milliardaire, il n’en n’est pas moins humain et surtout allergique à l’injustice. Il éjecte le DG et fait transporter tous les enfants dans l’un de ses hôtels de luxe. Parallèlement à cela, nargué par la société high-tech Manskind, Largo décide qu’il est temps pour son groupe de s’engager dans des secteurs innovants et respectueux de l’environnement… Voilà donc un Largo Winch emprunt des préoccupations de notre époque, où l’économie verte est au centre de l’action !

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...trop non plus et ou Cochrane reprend les premiers rôles. Un tome de Largo plein d'aventure et de coups bas comme on les aime et qui me donne envie de relire les premiers.... et d'avoir la suite

Largo initie une métamorphose écologique et sociale de ses industries, mais il se place alors en rival d’un autre milliardaire, qui l’emmène dans l’espace ! Largo mute et s’envoie en l’air…

J'avais quelques tomes de retards mais on m'a dit que l'on pouvait redémarrer à partir de ce tome, j'ai donc voulu m'en assurer.
Et c'est bien avec plaisir, et sans souci, que l'on replonge dans l'univers de Largo, et ici, Eric Giacometti a bien saisi l'essence du personnage, Philippe Francq quant à lui est toujours fidèle à lui même. Une très bonne aventure, qui nous fait attendre la fin du diptyque avec impatience, pour ceux qui avaient lâché l'affaire, mais qui auraient encore des doutes, c'est la bonne occasion de s'y remettre.

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