La route
Manu Larcenet (Scénario, Dessin, Couleurs)
Parution 29 mars 2024
Pages 160
Format Couverture rigide
Genre Roman graphique
Éditeur DARGAUD
Résumé
L'apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres et de cadavres. Parmi les survivants, un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d'objets hétéroclites, censés les aider dans leur voyage. Sous la pluie, la neige et le froid, ils avancent vers les côtes du sud, la peur au ventre : des hordes de sauvages cannibales terrorisent ce qui reste de l'humanité. Survivront-ils à leur périple ?
Après "Le Rapport de Brodeck", Manu Larcenet adapte de nouveau une oeuvre majeure de la littérature. Couronnée par le prix Pulitzer en 2007, "La Route" a connu un grand succès et a été adaptée au cinéma en 2009 avec Vigo Mortensen dans le rôle principal.
Avec cet album, Manu Larcenet réussit une adaptation d'une originalité absolue et pourtant d'une totale fidélité. En posant son trait sous les mots du romancier, en illustrant les silences du récit, l'artiste s'est approprié l'univers sombre et fascinant du roman de Cormac McCarthy.
D'un roman-culte il a fait un album d'une beauté saisissante, à la fois puissant et poignant.
Incontestablement un des chefs-d'oeuvre de la bande dessinée moderne.
Cormac McCarthy a signé plusieurs romans phares dont "La Route" mais aussi "No Country for old men", également adapté par les frères Coen au cinéma. Son oeuvre est essentiellement disponible aux éditions de L'Olivier (et Points), associées à Dargaud sur ce projet. L'écrivain est décédé le 13 juin 2023.
Son roman, publié aux Éditions de l'Olivier et chez Points pour la version poche, a été vendu à près de 800 000 exemplaires.
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La route
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Avis et notes
4,53
47 notes
5 étoiles
77%
4 étoiles
11%
3 étoiles
4%
2 étoiles
6%
1 étoile
2%
Dominique
Publié le
J'aurais voulu pleurer sur l'errance de ce papa et de son petit garçon, je n'en ai pas eu la force. Une étincelle d'amour noyée dans un océan de ténèbres. Les émotions sont là, le dessin est incroyable, du très grand Larcenet !
Chloé BDfugue
Publié le
Je ne vais pas être objective sur l'histoire car cela coche tout ce que j'aime : monde post-apocalyptique, errance, ambiance morbide et poisseuse.
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voyage dont on ne ressort pas indemne.
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voyage dont on ne ressort pas indemne.
Je ne vais pas être objective sur l'histoire car cela coche tout ce que j'aime : monde post-apocalyptique, errance, ambiance morbide et poisseuse.
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voy…
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voy…
Rémy - Maison de la Presse Chamonix
Publié le
Un monde post-apo brutal et silencieux.
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et des dessins dont on se souviendra longtemps ! (La page 26 & son ambiance tellement en opposition au reste de la BD ♥)
Une des meilleures BD de ces derniers temps à n'en pas douter !
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et des dessins dont on se souviendra longtemps ! (La page 26 & son ambiance tellement en opposition au reste de la BD ♥)
Une des meilleures BD de ces derniers temps à n'en pas douter !
Un monde post-apo brutal et silencieux.
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et de…
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et de…
Tous les avis
kubéon
Publié le
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Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir, chantait Johnny. Avait-il à l'esprit (sans penser à l'idée) que la noirceur pouvait être engendrée par notre monde. La faim peut provoquer une perte d'humanité qui inexorablement peut nous conduire à activer notre fin. La vie de survivants d'un chaos, ne vaut pas grand chose. Un jeune peut rapidement finir envieux. Et en vieux il deviendra un spécialiste pour les jeûnes.. Nos personnages principaux après de nombreuses péripéties arrivent à bon port, mais le fils confronté à la disparition de son père n'en mène pas large. Son destin est lié à notre imagination. La suite peut-être malheureuse pour ce garçon privé de ses racines et à la merci de prédateurs, ou heureuse si nous pensons que sa dernière rencontre puisse l'accompagner vers une société qui renaîtra de ses cendres, afin de ne pas mourir à petit feu. Soyons positifs, l'espoir fait vivre.
Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir, chantait Johnny. Avait-il à l'esprit (sans penser à l'idée) que la noirceur pouvait être engendrée par notre monde. La faim peut provoquer une perte d'humanité qui inexorablement peut nous cond…
Rese
Publié le
Achat vérifié
Récit poignant et magnifiquement découpé, dessin bluffant et parfaitement en phase avec l'histoire. Larcenet m'impressionne encore un peu plus d'avoir su trouvé lé bon ton et le bon trait. Un album qu'il est difficile de refermer et qu'il est d'autant plus difficile de ne pas rouvrir. Magnifique.
Récit poignant et magnifiquement découpé, dessin bluffant et parfaitement en phase avec l'histoire. Larcenet m'impressionne encore un peu plus d'avoir su trouvé lé bon ton et le bon trait. Un album qu'il est difficile de refermer et qu…
poseidon2 de 1001BD.com
Publié le
Les détails apportés aux cases sont monstrueux et l'ambiance graphique donne autant envie de pleurer que l'adaptation cinématographique avec Viggo Mortensein. Une plongée dans l'abime du désespoir de l'humanité comme rarement une BD nous a emmenés.
Les détails apportés aux cases sont monstrueux et l'ambiance graphique donne autant envie de pleurer que l'adaptation cinématographique avec Viggo Mortensein. Une plongée dans l'abime du désespoir de l'humanité comme rarement une BD no…
Primus1970
Publié le
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J'ai lu le livre de Cormac Mc Carthy , J ai vu le film et maintenant j'ai lu la BD . J'ai découvert Manu Larcenet avec son excellente série Le Combat Ordinaire , je ne peux que le féliciter pour cette adaptation de cette oeuvre dystopique.
Bonne lecture
Bonne lecture
J'ai lu le livre de Cormac Mc Carthy , J ai vu le film et maintenant j'ai lu la BD . J'ai découvert Manu Larcenet avec son excellente série Le Combat Ordinaire , je ne peux que le féliciter pour cette adaptation de cette oeuvre dystopi…
Masheliou
Publié le
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Très déçu. Finalement acheté car affiché assez longtemps en numéro 1 des ventes, je pensais que c’était un album « incontournable »….
Je n’ai pas reconnu le Manu Larcenet du retour à la terre ou du combat ordinaire.
Malgré les traces d’humanisme ressortant de l’histoire, je trouve le scénario inutile, une noirceur plutôt pas agréable, un dessin parfois horrible et incompréhensible ( je sais que c’est voulu, mais ce n’est pas beau!).
Je n’ai pas reconnu le Manu Larcenet du retour à la terre ou du combat ordinaire.
Malgré les traces d’humanisme ressortant de l’histoire, je trouve le scénario inutile, une noirceur plutôt pas agréable, un dessin parfois horrible et incompréhensible ( je sais que c’est voulu, mais ce n’est pas beau!).
Très déçu. Finalement acheté car affiché assez longtemps en numéro 1 des ventes, je pensais que c’était un album « incontournable »….
Je n’ai pas reconnu le Manu Larcenet du retour à la terre ou du combat ordinaire.
Malgré les trace…
Je n’ai pas reconnu le Manu Larcenet du retour à la terre ou du combat ordinaire.
Malgré les trace…
Alhellas
Publié le
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Voici un album qui marque. Un de plus confectionné par l'excellent Manu Larcenet qui sait si bien rendre cette atmosphère sombre de fin du monde où tout est danger... Bravo pour cette immersion en noir et blanc. Un livre que je vais prendre le temps de découvrir car chaque image est finement détaillée malgré cette satanée cendre qui recouvre tout.
Voici un album qui marque. Un de plus confectionné par l'excellent Manu Larcenet qui sait si bien rendre cette atmosphère sombre de fin du monde où tout est danger... Bravo pour cette immersion en noir et blanc. Un livre que je vais p…
cap12
Publié le
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Très bel ouvrage, magnifiquement dessiné. Le côté volontairement sombre et "brouillon" donné par les cendres en suspension crée une athmosphère qui colle parfaitement avec l'ambiance et le ton de l'histoire. Je ne connaissait personnellement pas le roman, ni le film, j'ai donc découvert cette oeuvre avec cette BD. On peut dire que ça vaut la peine d'être lu et regardé.
Très bel ouvrage, magnifiquement dessiné. Le côté volontairement sombre et "brouillon" donné par les cendres en suspension crée une athmosphère qui colle parfaitement avec l'ambiance et le ton de l'histoire. Je ne connaissait personnel…
iouri
Publié le
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Une oeuvre émouvante et cruelle à la fois servie par un travail remarquable de Manu Larcenet qui maîtrise magnifiquement l'art du contraste en noir et blanc. On est époustouflés par la manière dont il parvient à rendre visible le sentiment d'oppression qui pèse sur les personnages. Un incontournable !
Une oeuvre émouvante et cruelle à la fois servie par un travail remarquable de Manu Larcenet qui maîtrise magnifiquement l'art du contraste en noir et blanc. On est époustouflés par la manière dont il parvient à rendre visible le senti…
Franck25
Publié le
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J'avais vu le film avec Viggo Mortensen, il y a quelque années : c'est ce qui m'a poussé à me procurer la BD. Je n'ai pas été déçu : j'ai littéralement dévoré ce bouquin d'un trait !
Lecture très fluide et captivante qui vous entraîne dans un monde apocalyptique hyper flippant où tous les coups sont permis (ou presque) pour survivre.
Le pire, c'est que cette histoire fait encore partie de la science-fiction...mais pour combien de temps, vu à la vitesse à laquelle le monde se dégrade ? Livre prémonitoire ?
Excellente BD en tout cas.
Lecture très fluide et captivante qui vous entraîne dans un monde apocalyptique hyper flippant où tous les coups sont permis (ou presque) pour survivre.
Le pire, c'est que cette histoire fait encore partie de la science-fiction...mais pour combien de temps, vu à la vitesse à laquelle le monde se dégrade ? Livre prémonitoire ?
Excellente BD en tout cas.
J'avais vu le film avec Viggo Mortensen, il y a quelque années : c'est ce qui m'a poussé à me procurer la BD. Je n'ai pas été déçu : j'ai littéralement dévoré ce bouquin d'un trait !
Lecture très fluide et captivante qui vous entra…
Lecture très fluide et captivante qui vous entra…
Max Voronin
Publié le
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Une lecture bouleversante et fidèle au roman original. Manu Larcenet capture magnifiquement l'atmosphère apocalyptique avec des images poignantes. Cette BD, extraordinaire et émotive, démontre que Larcenet est l'un des plus grands auteurs de BD français. Une œuvre à ne pas rater !
Une lecture bouleversante et fidèle au roman original. Manu Larcenet capture magnifiquement l'atmosphère apocalyptique avec des images poignantes. Cette BD, extraordinaire et émotive, démontre que Larcenet est l'un des plus grands aute…
Fred
Publié le
Quelle claque !
Je ne connaissais ni le roman ni le film donc j'ai tout pris de pleine face.
Un dessin sublimant l'abominable et l'indicible.
Une atmosphère étouffante et froide que le dessin de Larcenet m'a permis de sentir tout autant que par ce lien mince et fragile qui permet aux deux personnages d'avancer.
Un Road movie post-apocalyptique terrible et déchirant.
Je ne connaissais ni le roman ni le film donc j'ai tout pris de pleine face.
Un dessin sublimant l'abominable et l'indicible.
Une atmosphère étouffante et froide que le dessin de Larcenet m'a permis de sentir tout autant que par ce lien mince et fragile qui permet aux deux personnages d'avancer.
Un Road movie post-apocalyptique terrible et déchirant.
Quelle claque !
Je ne connaissais ni le roman ni le film donc j'ai tout pris de pleine face.
Un dessin sublimant l'abominable et l'indicible.
Une atmosphère étouffante et froide que le dessin de Larcenet m'a permis de sentir tout au…
Je ne connaissais ni le roman ni le film donc j'ai tout pris de pleine face.
Un dessin sublimant l'abominable et l'indicible.
Une atmosphère étouffante et froide que le dessin de Larcenet m'a permis de sentir tout au…
FT
Publié le
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Après "Le Rapport de Brodeck" de Philippe Claudel, cette autre adaptation d'un best seller ("La route" de Cormac McCarthy) est une splendide réussite graphique. Fouillé et sombre, le trait de Manu Larcenet est un régal pour les yeux ! Après, on adhère ou pas au rythme de l'histoire, aux grands "silences" d'action, à ce voyage qui nous emmène juste plus loin en essayant de survivre ...
Après "Le Rapport de Brodeck" de Philippe Claudel, cette autre adaptation d'un best seller ("La route" de Cormac McCarthy) est une splendide réussite graphique. Fouillé et sombre, le trait de Manu Larcenet est un régal pour les yeux !…
Granredg
Publié le
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Esthétique magnifique, ambiance glauque ds laquelle il ne se passe...rien. Album lu très vite ( trop à mon goût)Je vais l'oublier pour y revenir un peu plus tard. Sait on jamais.
Pour l'heure, bien déçu par l'histoire même si j'en ai pris plein les yeux .
Pour l'heure, bien déçu par l'histoire même si j'en ai pris plein les yeux .
Esthétique magnifique, ambiance glauque ds laquelle il ne se passe...rien. Album lu très vite ( trop à mon goût)Je vais l'oublier pour y revenir un peu plus tard. Sait on jamais.
Pour l'heure, bien déçu par l'histoire même si j'en a…
Pour l'heure, bien déçu par l'histoire même si j'en a…
Benjamin Roure de Bodoi
Publié le
Qui d’autre ? Qui d’autre que Manu Larcenet pouvait adapter La Route, le chef d’oeuvre de Cormac McCarthy, avec autant de pertinence et d’intensité ?
Choquant, terrifiant, brillant.
Choquant, terrifiant, brillant.
Damien Canteau de Comixtrip
Publié le
Prix Pulitzer de la fiction en 2007, La route de Cormac McCarthy a laissé une trace importante dans le monde littéraire. Aujourd’hui, Manu Larcenet adapte ce chef-d’œuvre avec une puissance graphique hors-norme.
S. Salin de BDGest
Publié le
Sans le singer, le plagier, le copier, ni même tenter de l’illustrer, Manu Larcenet se sort plus qu'honorablement de l'adaptation de ce roman si particulier qu'est La route, du moins suffisamment pour continuer à tracer la sienne !
Ann
Publié le
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Quelle claque !!! Magistral Manu !
Seule déception, pas d'ex libris à l'intérieur...
Seule déception, pas d'ex libris à l'intérieur...
Kami 183
Publié le
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Peur d'être déçu, vu les excellentes critiques assez unanimes, je ne l'ai pas été.
Noirceur qui trait à cette adaptation de roman, noirceur dans laquelle Larcenet se royaume. Noirceur qui nous angoisse, nous imprègne et nous attriste de par l'attachement et la compassion aux personnages, bien rendu par le dessin très approprié.
Noirceur qui trait à cette adaptation de roman, noirceur dans laquelle Larcenet se royaume. Noirceur qui nous angoisse, nous imprègne et nous attriste de par l'attachement et la compassion aux personnages, bien rendu par le dessin très approprié.
Peur d'être déçu, vu les excellentes critiques assez unanimes, je ne l'ai pas été.
Noirceur qui trait à cette adaptation de roman, noirceur dans laquelle Larcenet se royaume. Noirceur qui nous angoisse, nous imprègne et nous attriste…
Noirceur qui trait à cette adaptation de roman, noirceur dans laquelle Larcenet se royaume. Noirceur qui nous angoisse, nous imprègne et nous attriste…
Sébastien de LA BANDE DU 9
Publié le
Avec la route", Manu Larcenet nous propose une revisite magistrale de l'œuvre phare de l'écrivain américain Cormac McCarthy."
MatthieuCLZ
Publié le
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MA-GNI-FIQUE ! Chaque case est plus belle que la précédente, tant graphiquement qu’en terme de sens et de symbolique. Et malgré la lenteur du récit, on ne s’ennuie jamais. La tension est palpable, permanente. Mais dans ce monde apocalyptique, l’amour inconditionnel du père pour son fils permet à cet enfant, plein d’humanité, de conserver une confiance aveugle en dépit des « méchants » et des images qui « rentrent dans sa tête ». Et il nous donne envie d’y croire, nous aussi. Larcenet est indéniablement et définitivement un génie. Qu’il n’en doute jamais. « Alors d’accord ! »
MA-GNI-FIQUE ! Chaque case est plus belle que la précédente, tant graphiquement qu’en terme de sens et de symbolique. Et malgré la lenteur du récit, on ne s’ennuie jamais. La tension est palpable, permanente. Mais dans ce monde apocaly…
Léo
Publié le
Achat vérifié
Pouuuuuh la claque !
Larcenet a décidément un talent fou, pas étonnant qu'il lui arrive de dérailler. 2ème adaptation d'un roman pour lui, déjà adapté au cinéma. J'ai pas lu le roman, mais vu le film. La bd est mieux. Les amateurs de monde dystopique vont se régaler. Les dessins sont extraordinairement désespérant. L'ambiance de fin du monde, sans espoir de quoi que ce soit pèse à chaque case. Un père et son fils qui suivent une route dans un décor apocalyptique à rendre jaloux les auteurs de walking dead, vont vers le sud, sans autre but que survivre dans une magnifique désolation dont ni les lecteurs ni le duo ne connaissent la cause. Hiver nucléaire, astéroïde, volcans, changement climatique brutal ? Peu importe, le propos c'est de montrer quel monde pourraient venir en cas d'effondrement de la civilisation parceque la planète est devenu un enfer stérile.
Bon, après c'est vraiment démoralisant, tellement on
sait que cela pourrait arriver demain, qu'il ne faut pas grand chose pour que les civilisation s'effondrent. Et que le monde d'après pourrait être cauchemardesque.
Un thème Sf/anticipation classique mais toujours apprécié, surtout quand c'est bien écrit et encore plus quand c'est de surcroît bien illustré.
Le dessin de manu est réellement angoissant et rend cette fin du monde si palpable !
Top
Larcenet a décidément un talent fou, pas étonnant qu'il lui arrive de dérailler. 2ème adaptation d'un roman pour lui, déjà adapté au cinéma. J'ai pas lu le roman, mais vu le film. La bd est mieux. Les amateurs de monde dystopique vont se régaler. Les dessins sont extraordinairement désespérant. L'ambiance de fin du monde, sans espoir de quoi que ce soit pèse à chaque case. Un père et son fils qui suivent une route dans un décor apocalyptique à rendre jaloux les auteurs de walking dead, vont vers le sud, sans autre but que survivre dans une magnifique désolation dont ni les lecteurs ni le duo ne connaissent la cause. Hiver nucléaire, astéroïde, volcans, changement climatique brutal ? Peu importe, le propos c'est de montrer quel monde pourraient venir en cas d'effondrement de la civilisation parceque la planète est devenu un enfer stérile.
Bon, après c'est vraiment démoralisant, tellement on
sait que cela pourrait arriver demain, qu'il ne faut pas grand chose pour que les civilisation s'effondrent. Et que le monde d'après pourrait être cauchemardesque.
Un thème Sf/anticipation classique mais toujours apprécié, surtout quand c'est bien écrit et encore plus quand c'est de surcroît bien illustré.
Le dessin de manu est réellement angoissant et rend cette fin du monde si palpable !
Top
Pouuuuuh la claque !
Larcenet a décidément un talent fou, pas étonnant qu'il lui arrive de dérailler. 2ème adaptation d'un roman pour lui, déjà adapté au cinéma. J'ai pas lu le roman, mais vu le film. La bd est mieux. Les amateurs de …
Larcenet a décidément un talent fou, pas étonnant qu'il lui arrive de dérailler. 2ème adaptation d'un roman pour lui, déjà adapté au cinéma. J'ai pas lu le roman, mais vu le film. La bd est mieux. Les amateurs de …
Paul le poulpe de BDthèque
Publié le
Manu Larcenet a totalement réussi son pari, il m’a même donné l’envie de relire le livre. C'est dire ! Chef d’œuvre absolu, si j'avais pu mettre six étoiles, je l'aurais fait !
Benco
Publié le
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Le dessin est magnifique, tout le monde s'accorde à le dire, et c'est vrai ! Bien qu'ayant lu du Larcenet avant, je trouve à cet album une patte particulière (mais je n'ai pas tout lu de ses travaux récents). L'aspect caricatural, présent dans nombre de ses œuvres précédentes, a ici disparu et laisse place à un graphisme très fouillé, assez chargé, magnifiquement maitrisé. Le peu de couleurs est surtout utilisé comme trame globale d'une image (voire d'une page), ce qui donne un résultat assez saisissant (et me fait m'interroger sur la pertinence d'une édition n&b). Quiconque a lu les premières œuvres de Larcenet (à l'époque chez Fluide) ne peut que saluer l'incroyable évolution de son trait. En revanche, c'est parfois assez choquant. Pas forcément les scènes violentes (pas si nombreuses), mais certaines images, notamment les corps décharnés des deux personnages principaux. Lorsqu'ils se dévêtent, c'est assez marquant.
L'histoire, en revanche, est un peu décevante, c'est un post-apo sans grande originalité. Qu'on ne sache strictement rien de l'origine de la fin du monde qui précède l'histoire n'est pas bien gênant, mais il aurait été appréciable d'avoir un peu plus de progression narrative. Même en conservant ce rythme très lent qui en agace certains, mais reste un choix stylistique en soi, après tout, pourquoi pas ? Mais là, il y a une quantité assez incroyable de pages qui, au delà du dessin magnifique, ne font strictement pas avancer l'histoire, et se contentent de faire passer un message : la vie des deux personnages principaux (père et fils) est absolument horrible et sans aucun sens ni but, à part survivre un jour de plus. C'est peut-être un choix de Larcenet que de retranscrire le désespoir d'un monde mort et fini au travers d'un voyage sans début ni fin. Mais si c'est le cas, j'avoue trouver cette orientation peu pertinente. Mêmes les enjeux qui subsistent (notamment le refus de sombrer dans le barbarisme absolu) s'en trouvent écrasés, quasiment vidés de leur sens.
Graphiquement, c'est une claque indéniable, narrativement, on est finalement face à une œuvre dont le pessimisme frôle un nihilisme qui pourrait presque sembler gratuit.
L'histoire, en revanche, est un peu décevante, c'est un post-apo sans grande originalité. Qu'on ne sache strictement rien de l'origine de la fin du monde qui précède l'histoire n'est pas bien gênant, mais il aurait été appréciable d'avoir un peu plus de progression narrative. Même en conservant ce rythme très lent qui en agace certains, mais reste un choix stylistique en soi, après tout, pourquoi pas ? Mais là, il y a une quantité assez incroyable de pages qui, au delà du dessin magnifique, ne font strictement pas avancer l'histoire, et se contentent de faire passer un message : la vie des deux personnages principaux (père et fils) est absolument horrible et sans aucun sens ni but, à part survivre un jour de plus. C'est peut-être un choix de Larcenet que de retranscrire le désespoir d'un monde mort et fini au travers d'un voyage sans début ni fin. Mais si c'est le cas, j'avoue trouver cette orientation peu pertinente. Mêmes les enjeux qui subsistent (notamment le refus de sombrer dans le barbarisme absolu) s'en trouvent écrasés, quasiment vidés de leur sens.
Graphiquement, c'est une claque indéniable, narrativement, on est finalement face à une œuvre dont le pessimisme frôle un nihilisme qui pourrait presque sembler gratuit.
Le dessin est magnifique, tout le monde s'accorde à le dire, et c'est vrai ! Bien qu'ayant lu du Larcenet avant, je trouve à cet album une patte particulière (mais je n'ai pas tout lu de ses travaux récents). L'aspect caricatural, prés…
Benoît Cassel de planetebd.com
Publié le
Après avoir adapté de façon remarquable <i>Le Rapport de Brodeck</i>, Manu Larcenet s’empare du best-seller <i>La route</i> de Cormac McCarthy. Magistral !
Coach SG
Publié le
Achat vérifié
Que dire? C'est superbe, c'est même au-delà. C'est un Larcenet grandiose qui adapte un roman sombre et lumineux, froid et solaire, et qui rend tout cela désespérément beau.
Je retrouve dans le graphisme de Larcenet la force de ce qu'il perçoit du texte et la beauté du trait déjà entrevu (mais poussé plus loin dans la subtilité de son art) que dans Le rapport de Brodeck.
Une grande BD, indéniablement.
Je retrouve dans le graphisme de Larcenet la force de ce qu'il perçoit du texte et la beauté du trait déjà entrevu (mais poussé plus loin dans la subtilité de son art) que dans Le rapport de Brodeck.
Une grande BD, indéniablement.
Que dire? C'est superbe, c'est même au-delà. C'est un Larcenet grandiose qui adapte un roman sombre et lumineux, froid et solaire, et qui rend tout cela désespérément beau.
Je retrouve dans le graphisme de Larcenet la force de ce qu'…
Je retrouve dans le graphisme de Larcenet la force de ce qu'…
Gael
Publié le
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Une interprétation magnifique et très graphique de ce livre triste et intense. J'ai adoré la composition des pages, le peu de dialogues mais qui rentrent dans une sorte de routine, le dessin de Larcenet toujours à propos, et bien sûr cette histoire déchirante de survie qui parle d'humanité et de compassion. Un beau chef d'oeuvre de plus !
Une interprétation magnifique et très graphique de ce livre triste et intense. J'ai adoré la composition des pages, le peu de dialogues mais qui rentrent dans une sorte de routine, le dessin de Larcenet toujours à propos, et bien sûr c…
BDCAF'mag
Publié le
Dans un paysage de désolation post-apocalyptique, un père et son jeune fils marchent « sur la
route » en direction du sud et de l’océan. Ils traversent des villes détruites où des corps sans vie sont
suspendus au-dessus du vide. On ignore ce qui s’est passé. Les dialogues entre le père et le fils,
livrent cependant quelques indications : ils font partie des gentils, ne mangent pas d’humains et
savent qu’ils sont condamnés à mort soit par les méchants qu’ils croiseront peut-être sur la route ou
de faim et d’épuisement. Le père ne ment jamais à son fils. En revanche, il lui demande parfois de
« ne pas regarder car ce qui entre dans sa tête y pour toujours » et lui apprend comment faire pour
en finir avec leur revolver… A la fois œuvre métaphorique (celle d’un paradis perdu à jamais) ;
initiatique (celle de la transmission d’un père à son jeune fils) et métaphysique (car la condition des
personnages renvoie à celle de la condition humaine) l’adaptation de l’œuvre de Cormac McCarthy
par Manu Larcenet est magistrale : son découpage, ses dialogues, son trait charbonneux confèrent à
ce roman graphique une puissance rare.
route » en direction du sud et de l’océan. Ils traversent des villes détruites où des corps sans vie sont
suspendus au-dessus du vide. On ignore ce qui s’est passé. Les dialogues entre le père et le fils,
livrent cependant quelques indications : ils font partie des gentils, ne mangent pas d’humains et
savent qu’ils sont condamnés à mort soit par les méchants qu’ils croiseront peut-être sur la route ou
de faim et d’épuisement. Le père ne ment jamais à son fils. En revanche, il lui demande parfois de
« ne pas regarder car ce qui entre dans sa tête y pour toujours » et lui apprend comment faire pour
en finir avec leur revolver… A la fois œuvre métaphorique (celle d’un paradis perdu à jamais) ;
initiatique (celle de la transmission d’un père à son jeune fils) et métaphysique (car la condition des
personnages renvoie à celle de la condition humaine) l’adaptation de l’œuvre de Cormac McCarthy
par Manu Larcenet est magistrale : son découpage, ses dialogues, son trait charbonneux confèrent à
ce roman graphique une puissance rare.
Dans un paysage de désolation post-apocalyptique, un père et son jeune fils marchent « sur la
route » en direction du sud et de l’océan. Ils traversent des villes détruites où des corps sans vie sont
suspendus au-dessus du vide. On i…
route » en direction du sud et de l’océan. Ils traversent des villes détruites où des corps sans vie sont
suspendus au-dessus du vide. On i…
fil2fer38
Publié le
Achat vérifié
Très bon livre ! Jusqu'au bout de l'effort dans un monde noir et terne. Le danger guette !
Une anticipation de ce qui nous attend ? Peut être.
Quoi qu'il en soit, chacun peut déjà commencer à préparer son caddie !
Une anticipation de ce qui nous attend ? Peut être.
Quoi qu'il en soit, chacun peut déjà commencer à préparer son caddie !
Bdécouverte
Publié le
Achat vérifié
La désolation, l'effroi, la peur mais aussi l'espoir n'auront jamais été aussi bien illustré. Manu Larcenet réussit un véritable tour de force en adaptant l'œuvre de McCarthy. La lecture est captivante, on a envie de savoir où cela va mener son fils et son père. On a de l'espoir pour eux. On espère qu'ils vont arriver au bout de leur route vers un potentiel avenir radieux…
La désolation, l'effroi, la peur mais aussi l'espoir n'auront jamais été aussi bien illustré. Manu Larcenet réussit un véritable tour de force en adaptant l'œuvre de McCarthy. La lecture est captivante, on a envie de savoir où cela va …
dadix05
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Je n’ai pas lu le roman de Cormac Mc Carthy, juste vu le film mais je pense qu’il s’agit d’une bonne adaptation fidèle à l’oeuvre et à son esprit. L’histoire est assez désespérante et on a du mal à avoir de l’empathie pour les personnages mais le talent graphique de Manu Larcenet rend à merveille ce monde apocalyptique.
Je n’ai pas lu le roman de Cormac Mc Carthy, juste vu le film mais je pense qu’il s’agit d’une bonne adaptation fidèle à l’oeuvre et à son esprit. L’histoire est assez désespérante et on a du mal à avoir de l’empathie pour les personna…
Lensolo
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Manu Larcenet nous entraîne dans un road trip introspectif où chaque étape est une révélation. À travers des dessins saisissants et une narration poignante, il explore avec finesse les méandres de l'âme humaine. Une lecture captivante et enrichissante à ne pas manquer !
Manu Larcenet nous entraîne dans un road trip introspectif où chaque étape est une révélation. À travers des dessins saisissants et une narration poignante, il explore avec finesse les méandres de l'âme humaine. Une lecture captivante …
ColineEcho
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Magnifique adaptation du roman éponyme.
En effet, Manu Larcenet a réussi a extrêmement bien retranscrire l'esprit du roman, très sombre, post-apocalyptique de la survie d'un père et son fils dans un monde en ruine. L'auteur ne s'en est pas tenu à une simple mise en illustration du roman mais bien une adaptation personnelle, on garde ainsi l'histoire globale et l'esprit mais avec des ajouts personnels. Le dessin est fin et montre énormément sans utiliser beaucoup la parole.
En effet, Manu Larcenet a réussi a extrêmement bien retranscrire l'esprit du roman, très sombre, post-apocalyptique de la survie d'un père et son fils dans un monde en ruine. L'auteur ne s'en est pas tenu à une simple mise en illustration du roman mais bien une adaptation personnelle, on garde ainsi l'histoire globale et l'esprit mais avec des ajouts personnels. Le dessin est fin et montre énormément sans utiliser beaucoup la parole.
Magnifique adaptation du roman éponyme.
En effet, Manu Larcenet a réussi a extrêmement bien retranscrire l'esprit du roman, très sombre, post-apocalyptique de la survie d'un père et son fils dans un monde en ruine. L'auteur ne s'en e…
En effet, Manu Larcenet a réussi a extrêmement bien retranscrire l'esprit du roman, très sombre, post-apocalyptique de la survie d'un père et son fils dans un monde en ruine. L'auteur ne s'en e…
Carlito
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C’est très lent et dépourvu de trame narrative.Le dessin est splendide mais ce n’est pas uniquement ce que je recherche dans une bd.
J’en attendais probablement trop et finalement je suis déçu.
J’en attendais probablement trop et finalement je suis déçu.
Florent BDfugue Nice
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Cette adaptation de Manu LARCENET rend véritablement hommage au chef d’œuvre de Cormac McCarthy. Le dessin et sa noirceur nous immergent pleinement dans cet univers post-apocalyptique. On ressent la faim, le froid, la fatigue des personnages. La lecture est parfois très difficile sur le plan émotionnel. Malgré la difficulté de cette vie, l’espoir et l’innocence demeurent toujours au travers du personnage de l’enfant.
J’ai conseillé « La route » à un lecteur de walking dead. Bien que les zombies n’existent pas dans cette histoire, « la route » est pour moi un meilleur récit de morts-vivants qu’un vrai récit de morts-vivants.
Mieux que le film !
J’ai conseillé « La route » à un lecteur de walking dead. Bien que les zombies n’existent pas dans cette histoire, « la route » est pour moi un meilleur récit de morts-vivants qu’un vrai récit de morts-vivants.
Mieux que le film !
Cette adaptation de Manu LARCENET rend véritablement hommage au chef d’œuvre de Cormac McCarthy. Le dessin et sa noirceur nous immergent pleinement dans cet univers post-apocalyptique. On ressent la faim, le froid, la fatigue des pers…
keysersoze_xxl
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bel album, graphiquement, pour le reste et bien pas grand chose, il ne se passe rien, pas de construction narrative, juste une succession anodine et non exploitée de faits, des dialogues qui se résument tout au long de l'album par "t'as faim? t'as froids? oui, on est les gentils?", rien d'autre. Le graphisme n'est pas une surprise, déjà vu dans les œuvres précédentes de larcenet mais bel objet néanmoins, hormis cela...assez déçu et ce n'est pas la faute au roman ayant servis de scénario mais bien à l'exploitation de celui-ci, complimentent ratée. mais resteras sans doute adulé par une société tellement friande de noirceur et post apocalyptique, inquiétant.
bel album, graphiquement, pour le reste et bien pas grand chose, il ne se passe rien, pas de construction narrative, juste une succession anodine et non exploitée de faits, des dialogues qui se résument tout au long de l'album par "t'a…
Marie O. BDfugue Toulouse
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Le graphisme est sublime et les paysages dévastés à couper le souffle! L'histoire de ce père et son fils prend aux tripes et c'est impossible de décrocher une seule minute!
Larcenet a fait un travail bluffant, c'est tour à tour le désespoir, la violence, l'espoir, l'Humain qui sont représentés par ses traits!
Une œuvre magistrale!
Larcenet a fait un travail bluffant, c'est tour à tour le désespoir, la violence, l'espoir, l'Humain qui sont représentés par ses traits!
Une œuvre magistrale!
Le graphisme est sublime et les paysages dévastés à couper le souffle! L'histoire de ce père et son fils prend aux tripes et c'est impossible de décrocher une seule minute!
Larcenet a fait un travail bluffant, c'est tour à tour le dés…
Larcenet a fait un travail bluffant, c'est tour à tour le dés…
JPT
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Totalement dans l'esprit du texte, le dessin sert de manière impitoyable l'écriture du Roman de Cormac Mc Carthy, un grand dessinateur au service d'un grand Roman !
Camille BDfugue
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Éprouvant et sombre, l’adaptation du roman éponyme par Larcenet est un coup de poignard en plein cœur. Connaissant de loin, sans avoir jamais eu l’occasion de lire le roman, je découvre cette histoire crue et si véridique dans ses faits. Sans jamais énoncer le lieu, les noms des personnages, la cause de cette apocalypse, tous ce qui s’y déroule est teinté de vérité. La nature des Hommes reste la même, sans concession, on nous peint un monde détruit où la survie est déterminée par un abandon de ce qui faisait de nous des êtres civilisés. Mais malgré tout, un père essaie d’élever son fils avec droiture et des principes moraux difficilement atteignable sans souffrir. Une BD à lire avec un bon paquet de mouchoir à coté, elle est dure, il faut cependant la lire ! C’est inévitable.
Éprouvant et sombre, l’adaptation du roman éponyme par Larcenet est un coup de poignard en plein cœur. Connaissant de loin, sans avoir jamais eu l’occasion de lire le roman, je découvre cette histoire crue et si véridique dans ses fait…
Luuna
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Bon, malgré les pages cela se lit vite, certes le dessin est fin et minutieux, très belle atmosphère dans ce monde post apocalyptique où la survie de l'homme est rude mais...
On s'ennuie, c'est rébarbatif, niveau scénario (même si c'est une adaptation) c'est lent sans aucune action, un père et son fils poussent un cadi durant 160 pages.
À lire, mais pas forcement à garder dans sa bibliothèque.
On s'ennuie, c'est rébarbatif, niveau scénario (même si c'est une adaptation) c'est lent sans aucune action, un père et son fils poussent un cadi durant 160 pages.
À lire, mais pas forcement à garder dans sa bibliothèque.
Bon, malgré les pages cela se lit vite, certes le dessin est fin et minutieux, très belle atmosphère dans ce monde post apocalyptique où la survie de l'homme est rude mais...
On s'ennuie, c'est rébarbatif, niveau scénario (même si c'e…
On s'ennuie, c'est rébarbatif, niveau scénario (même si c'e…
Nicolas BDfugue
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Manu Larcenet nous offre une œuvre splendide malgré les thèmes abordés, la mort, la fin de la civilisation et de l'humanité... il reste tout de même ces deux êtres touchants qui luttent pour leur survie et offrent un peu d'espoir au milieu du feu, des débris et de la crasse.
Manu Larcenet nous offre une œuvre splendide malgré les thèmes abordés, la mort, la fin de la civilisation et de l'humanité... il reste tout de même ces deux êtres touchants qui luttent pour leur survie et offrent un peu d'espoir au mi…
Floris BDfugue
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C'est beau, très beau même. Une telle adaptation visuelle du roman de McCarthy est une vraie prouesse, mais on savait Manu Larcenet être un véritable magicien un crayon à la main.
Personnellement, ces albums principalement centrés sur la noirceur et la saleté ne me touchent pas particulièrement, d'où ma note peut-être plus sévère. Mais cela n'enlève rien à la qualité de l'ouvrage ! Si c'est à votre goût, vous le qualifierez sans aucun doute de chef d'œuvre.
Personnellement, ces albums principalement centrés sur la noirceur et la saleté ne me touchent pas particulièrement, d'où ma note peut-être plus sévère. Mais cela n'enlève rien à la qualité de l'ouvrage ! Si c'est à votre goût, vous le qualifierez sans aucun doute de chef d'œuvre.
C'est beau, très beau même. Une telle adaptation visuelle du roman de McCarthy est une vraie prouesse, mais on savait Manu Larcenet être un véritable magicien un crayon à la main.
Personnellement, ces albums principalement centrés sur…
Personnellement, ces albums principalement centrés sur…
Gaëlle BD Fugue
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C'est à se demander comment l'horreur peut être si belle ?
Je sors de plusieurs mois de silence dans cette lettre d 'info pour vous crier de lire La Route, de faire la route avec eux. Même si tout n'y est que désespoir, le voyage est merveilleux.
Je sors de plusieurs mois de silence dans cette lettre d 'info pour vous crier de lire La Route, de faire la route avec eux. Même si tout n'y est que désespoir, le voyage est merveilleux.
C'est à se demander comment l'horreur peut être si belle ?
Je sors de plusieurs mois de silence dans cette lettre d 'info pour vous crier de lire La Route, de faire la route avec eux. Même si tout n'y est que désespoir, le voyage est …
Je sors de plusieurs mois de silence dans cette lettre d 'info pour vous crier de lire La Route, de faire la route avec eux. Même si tout n'y est que désespoir, le voyage est …
Léo BDFugue
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"Réfléchis à ce que tu mets dans ta tête, parce que ça y restera pour toujours".
Il est clair qu'après la lecture de cette nouvelle adaptation de Manu Larcenet je peux vous promettre que certaines planches, certaines cases, vous marqueront la rétine à vie, et ce, pour 2 raisons : la dureté atroce de ce qu'elles nous montrent, et la beauté infinie du trait de Larcenet.
L'auteur est au sommet de son art, jamais je n'ai autant été impacté par une lecture qui n'a pourtant ni narration, ni onomatopées. Quelques dialogues viennent s'immiscer dans cet univers qui n'est que cendres, mort, et fatalité.
Impossible de lire autre chose après avoir terminé La Route tant cette œuvre va me hanter. Pour ma part, il sera dur de le déloger de la place d'album de l'année.
Il est clair qu'après la lecture de cette nouvelle adaptation de Manu Larcenet je peux vous promettre que certaines planches, certaines cases, vous marqueront la rétine à vie, et ce, pour 2 raisons : la dureté atroce de ce qu'elles nous montrent, et la beauté infinie du trait de Larcenet.
L'auteur est au sommet de son art, jamais je n'ai autant été impacté par une lecture qui n'a pourtant ni narration, ni onomatopées. Quelques dialogues viennent s'immiscer dans cet univers qui n'est que cendres, mort, et fatalité.
Impossible de lire autre chose après avoir terminé La Route tant cette œuvre va me hanter. Pour ma part, il sera dur de le déloger de la place d'album de l'année.
"Réfléchis à ce que tu mets dans ta tête, parce que ça y restera pour toujours".
Il est clair qu'après la lecture de cette nouvelle adaptation de Manu Larcenet je peux vous promettre que certaines planches, certaines cases, vous marque…
Il est clair qu'après la lecture de cette nouvelle adaptation de Manu Larcenet je peux vous promettre que certaines planches, certaines cases, vous marque…
Thibault BDfugue
Publié le
Du post-apo qui ne fait pas dans la dentelle. Pas de moments de joie et de bonheur car la peur est permanente. Il n'y a que la sècheresse, les cendres, la mort. Le trait de Manu Larcenet retranscrit avec brio cette ambiance crasse et grise. "La Route" peut déjà prétendre au titre du meilleur album de l'année !
Du post-apo qui ne fait pas dans la dentelle. Pas de moments de joie et de bonheur car la peur est permanente. Il n'y a que la sècheresse, les cendres, la mort. Le trait de Manu Larcenet retranscrit avec brio cette ambiance crasse et g…
Rémy - Maison de la Presse Chamonix
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Un monde post-apo brutal et silencieux.
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et des dessins dont on se souviendra longtemps ! (La page 26 & son ambiance tellement en opposition au reste de la BD ♥)
Une des meilleures BD de ces derniers temps à n'en pas douter !
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et des dessins dont on se souviendra longtemps ! (La page 26 & son ambiance tellement en opposition au reste de la BD ♥)
Une des meilleures BD de ces derniers temps à n'en pas douter !
Un monde post-apo brutal et silencieux.
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et de…
Des question, parfois innocentes, de la part d'un jeune garçon à son père.
Des réponses et un voyage lourd de sens.
Pour les lecteurs du roman et les nouveaux venus, un claque d'ambiance et de…
Chloé BDfugue
Publié le
Je ne vais pas être objective sur l'histoire car cela coche tout ce que j'aime : monde post-apocalyptique, errance, ambiance morbide et poisseuse.
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voyage dont on ne ressort pas indemne.
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voyage dont on ne ressort pas indemne.
Je ne vais pas être objective sur l'histoire car cela coche tout ce que j'aime : monde post-apocalyptique, errance, ambiance morbide et poisseuse.
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voy…
Le trait de Larcenet adapte avec merveille et brio le roman de Cormac McCarthy.
Un voy…
Dominique
Publié le
J'aurais voulu pleurer sur l'errance de ce papa et de son petit garçon, je n'en ai pas eu la force. Une étincelle d'amour noyée dans un océan de ténèbres. Les émotions sont là, le dessin est incroyable, du très grand Larcenet !
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