The one within the villainess tome 1
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x.charCodeAt(0))))" data-href="aHR0cHM6Ly93d3cuYmRmdWd1ZS5jb20vY2F0YWxvZ3NlYXJjaC9yZXN1bHQvP3E9TWFraWJ1cm8=" class="text-primary hover:underline cursor-pointer font-semibold">Makiburo
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L’introduction rappelle fortement des titres comme 7th Time Loop ou Si je suis la Vilaine, autant mater le boss final : une héroïne se réincarne dans le corps de la vilaine d’un jeu, accusée à tort par la "gentille" et injustement exilée. Un schéma éprouvé, qui fonctionne toujours aussi bien. Mais là où l’histoire prend une tournure plus originale, c’est dans l’intention profonde de l’héroïne : au lieu de vouloir simplement "survivre" ou "changer son destin", elle cherche à offrir à la vilaine une vie heureuse — un objectif noble, puisque celle-ci n’a aucune fin heureuse dans le jeu de base.
L’autre grande force du récit repose sur une mécanique inhabituelle : la conscience de la vilaine n’a pas disparu. Elle cohabite avec celle de l’héroïne réincarnée. Cela permet une exploration émotionnelle plus fine, notamment autour de thèmes comme l’amour ou la mémoire, tout en ouvrant la voie à des échanges de rôles intéressants entre les deux personnalités.
Ce jeu d’identité donne au récit une dynamique originale, bien menée, même si le démarrage prend un peu de temps à s’installer.
Visuellement, les dessins sont très réussis, avec une mise en scène sobre mais efficace qui soutient bien l’ambiance plus sérieuse de l’histoire. L’ensemble se tient bien : le ton est maîtrisé, les personnages sont déjà marquant, et certains déclenchent instantanément des réactions fortes. Mention spéciale à la "gentille" du jeu original, dont l’hypocrisie et la malice sont si bien écrite qu’on la déteste dès sa première apparition — un bon signe, en soi, de la qualité du travail narratif.