The Mask - intégrale tome 2 - Le Mask contre-attaque
John Arcudi (Scénario) | Doug Mahnke (Dessin, Couverture)
Parution 8 oct. 2020
Pages 128
Genre Fantastique Comics
Éditeur DELIRIUM EDITIONS
Résumé
Le Mask a disparu, mais il fascine toujours autant... Lorsque Rick et ses amis remettent par miracle la main dessus, ils pensent tous avoir une chance d'enfin concrétiser leurs rêves les plus fous. Mais c'est sans compter sur la pègre qui rêve tout autant de posséder une arme de destruction massive comme celle-ci. Porter le Mask provoque des effets destructeurs et attire les pires ennuis. Walter, un colosse muet et sans état d'âme en sait quelque chose et se met lui aussi à la poursuite du Mask.
Ce deuxième volume de l'intégrale The Mask contient la série : The Mask contre-attaque.
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The Mask - intégrale tome 2
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The Mask - intégrale tome 2
Réf. 9791090916609
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Anthox Comics
Publié le
Second tome de l’intégrale des « The Mask » paru, à l’époque, dans les années 90, nous y retrouvons une histoire signée John Arcudi ainsi que la patte graphique de Doug Mahnke.
Tout d’abord, il faut savoir qu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu son prédécesseur pour entamer ce volume. En effet, cette « nouvelle » histoire suit les traces d’un nouveau personnage nommé Rick ainsi que ses amis. Ils n’ont absolument aucun lien avec le Stanley Ipkiss que nous avons connu précédemment. Seul rescapé : Notre inspecteur Kellaway national qui va, une fois de plus, tenter d’arrêter son ennemi juré, Big Head.
L’histoire reste cohérente à l’univers mis en place et est, également, intéressante. Cependant, pour ma part, elle n’égale pas ses parents qui restent beaucoup plus captivants et prenants. Le 1er tome a réussi à nous proposer un scénario original avec un concept simple mais non pour le moins génial. La nature même du 2eme volume nous fait perdre la magie de la découverte et s’oblige à complexifier un scénario en y ajoutant des éléments superficiels.
Ensuite, le style de l’époque n’ayant pas changé depuis le tome précédent, il est clair que ça pourrait vous faire hésiter. Cela dit, si vous dépassez ce stade, vous (re)découvrirez un dessin efficace, très agréable à lire et vecteur d’une multitude d’émotion. Certes, le style a relativement changé réduisant, ainsi, le côté gore et violent pour transiter doucement vers une ambiance plus cartoonesque et bon enfant. Néanmoins, ce changement reste logique dû au fait que l’hôte du masque a changé et donc, réciproquement, la personnalité de Big Head également.
Enfin, pour ceux qui se demandent si j’ai commis une faute de frappe, non, du tout. Vous avez bien lu, il s’agit d’une seule et unique histoire. Le tome précédent étant composé de 2 histoires, Delirium, l’éditeur de ces omnibus, a eu la brillante idée de réduire l’épaisseur du comic tout en conservant un prix relativement élevé pour notre plus grand plaisir (surtout celui de leur portefeuille). Là où le précédent volume nous revenait à 10 cents / planche, le coût a littéralement doublé revenant, ainsi, à presque 20 cents / planche !
En conclusion, malgré une histoire accrocheuse et un dessin percutant, le léger changement de ton n’est pas l’élément qui m’a poussé à lui octroyer 2 étoiles. Non, ce qui a causé sa perte est son prix abusif pour une pauvre épaisseur d’une centaine de pages. Pour un intégral, c’est très cher payé. Certes, l’impression est un gouffre financier énorme quand on connaît les risques que ça encourt sans avoir aucune certitude mais nous ne sommes pas des vaches à lait. Je suis bien content qu’ils l’aient compris pour les volumes suivants !
Tout d’abord, il faut savoir qu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu son prédécesseur pour entamer ce volume. En effet, cette « nouvelle » histoire suit les traces d’un nouveau personnage nommé Rick ainsi que ses amis. Ils n’ont absolument aucun lien avec le Stanley Ipkiss que nous avons connu précédemment. Seul rescapé : Notre inspecteur Kellaway national qui va, une fois de plus, tenter d’arrêter son ennemi juré, Big Head.
L’histoire reste cohérente à l’univers mis en place et est, également, intéressante. Cependant, pour ma part, elle n’égale pas ses parents qui restent beaucoup plus captivants et prenants. Le 1er tome a réussi à nous proposer un scénario original avec un concept simple mais non pour le moins génial. La nature même du 2eme volume nous fait perdre la magie de la découverte et s’oblige à complexifier un scénario en y ajoutant des éléments superficiels.
Ensuite, le style de l’époque n’ayant pas changé depuis le tome précédent, il est clair que ça pourrait vous faire hésiter. Cela dit, si vous dépassez ce stade, vous (re)découvrirez un dessin efficace, très agréable à lire et vecteur d’une multitude d’émotion. Certes, le style a relativement changé réduisant, ainsi, le côté gore et violent pour transiter doucement vers une ambiance plus cartoonesque et bon enfant. Néanmoins, ce changement reste logique dû au fait que l’hôte du masque a changé et donc, réciproquement, la personnalité de Big Head également.
Enfin, pour ceux qui se demandent si j’ai commis une faute de frappe, non, du tout. Vous avez bien lu, il s’agit d’une seule et unique histoire. Le tome précédent étant composé de 2 histoires, Delirium, l’éditeur de ces omnibus, a eu la brillante idée de réduire l’épaisseur du comic tout en conservant un prix relativement élevé pour notre plus grand plaisir (surtout celui de leur portefeuille). Là où le précédent volume nous revenait à 10 cents / planche, le coût a littéralement doublé revenant, ainsi, à presque 20 cents / planche !
En conclusion, malgré une histoire accrocheuse et un dessin percutant, le léger changement de ton n’est pas l’élément qui m’a poussé à lui octroyer 2 étoiles. Non, ce qui a causé sa perte est son prix abusif pour une pauvre épaisseur d’une centaine de pages. Pour un intégral, c’est très cher payé. Certes, l’impression est un gouffre financier énorme quand on connaît les risques que ça encourt sans avoir aucune certitude mais nous ne sommes pas des vaches à lait. Je suis bien content qu’ils l’aient compris pour les volumes suivants !
Second tome de l’intégrale des « The Mask » paru, à l’époque, dans les années 90, nous y retrouvons une histoire signée John Arcudi ainsi que la patte graphique de Doug Mahnke.
Tout d’abord, il faut savoir qu’il n’est pas nécessair…
Tout d’abord, il faut savoir qu’il n’est pas nécessair…