Les Julys
Nylso (Scénario, Dessin)
Parution 13 sept. 2024
Pages 328
Format Couverture rigide
Genre Roman graphique
Éditeur MISMA
Résumé
Elles chantent sans ouvrir la bouche des mélodies voluptueuses, elles traversent les pages et les paysages, elles ne se réduisent qu'à la grandeur de la nature. Elles font un passage éclair parmi nous. Pas encore là en juin, déjà parties en août... Ce sont LES JULYS. Des êtres minuscules, sortes de génies qui, aux premières lueurs du premier jour de juillet, sortent de leur coquille sous l'eau et rejoignent la surface du monde pour s'immiscer dans nos rêves.
Nylso revient avec ses thèmes de prédilection (la nature, l'introspection...) dans un nouvel album qui explore l'imaginaire, l'innocence de l'enfance et la transmission
paternelle avec beaucoup de poésie et de tendresse.
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Gaëlle BD Fugue
Publié le
Je dis souvent et généralement ça fait rigoler les gens : « je déteste le petit peuple ». Ces espèces de créatures des forêts, ailées ou pas, ce n’est pas pour moi. Mais alors par contre Les Julys, ça ça me plaît ! Ces minuscules choses, mini demoiselles encapuchonnées et bottées, sorties de la mer rien que pour le mois de juillet, m’ont hautement captivée. Comme tous les ouvrages de Nylso, on est au royaume du petit trait, du décor dans lequel on fouine. Parfois les personnes s’y confondent en un succulent cache-cache. J’adore cet univers où la poésie et la minutie se confondent. J’adore les discussions entre ce père et son fils lors de cette balade bucolique ! Ça paraît tout simple mais ça contient tellement de choses parfois même ratées de la vie ! Pendant qu’ils dissertent, les Julys passent leur mois de juillet à arpenter la nature. Leurs histoires se croisent… C’est si bon de lire du Nylso !
Je dis souvent et généralement ça fait rigoler les gens : « je déteste le petit peuple ». Ces espèces de créatures des forêts, ailées ou pas, ce n’est pas pour moi. Mais alors par contre Les Julys, ça ça me plaît ! Ces minuscules chose…
Damien Canteau de Comixtrip
Publié le
Un récit pour ne jamais perdre son âme d’enfant, pour réfléchir sur le temps qui passe et la nature qui nous entoure.
Benoît Cassel
Publié le
Œuvre poétique graphique imposante par son volume et sa mise en abîme épicurienne déroutante, <i>Les Julys</i> dénote et émeut.
Tous les avis
Benoît Cassel
Publié le
Œuvre poétique graphique imposante par son volume et sa mise en abîme épicurienne déroutante, <i>Les Julys</i> dénote et émeut.
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Publié le
Un récit pour ne jamais perdre son âme d’enfant, pour réfléchir sur le temps qui passe et la nature qui nous entoure.
Gaëlle BD Fugue
Publié le
Je dis souvent et généralement ça fait rigoler les gens : « je déteste le petit peuple ». Ces espèces de créatures des forêts, ailées ou pas, ce n’est pas pour moi. Mais alors par contre Les Julys, ça ça me plaît ! Ces minuscules choses, mini demoiselles encapuchonnées et bottées, sorties de la mer rien que pour le mois de juillet, m’ont hautement captivée. Comme tous les ouvrages de Nylso, on est au royaume du petit trait, du décor dans lequel on fouine. Parfois les personnes s’y confondent en un succulent cache-cache. J’adore cet univers où la poésie et la minutie se confondent. J’adore les discussions entre ce père et son fils lors de cette balade bucolique ! Ça paraît tout simple mais ça contient tellement de choses parfois même ratées de la vie ! Pendant qu’ils dissertent, les Julys passent leur mois de juillet à arpenter la nature. Leurs histoires se croisent… C’est si bon de lire du Nylso !
Je dis souvent et généralement ça fait rigoler les gens : « je déteste le petit peuple ». Ces espèces de créatures des forêts, ailées ou pas, ce n’est pas pour moi. Mais alors par contre Les Julys, ça ça me plaît ! Ces minuscules chose…
