Les filles des oiseaux tome 1
Florence Cestac (Scénario, Dessin, Couleurs)
Parution 9 sept. 2016
Pages 60
Format Couverture rigide
Genre Humour BD
Éditeur DARGAUD
Résumé
Honfleur, au pensionnat des Oiseaux, un établissement pour jeunes filles tenu par des soeurs chanoinesses de saint Augustin, dans les années soixante. Marie-Colombe et Thérèse ont 13 ans. L'une vient d'une famille très aisée vivant à Neuilly ; l'autre, d'une famille du coin, dans laquelle on est paysans depuis des générations. Les deux jeunes filles deviennent inséparables et font les 400 coups dans le vénérable pensionnat. Une amitié à toute épreuve dans la France des sixties.
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Les filles des oiseaux tome 1
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Les filles des oiseaux tome 1
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MARIE SATOUR - CULTURE CHRONIQUE
Publié le
Comme souvent avec Florence Cestac on est plongé dans un univers féminin et féministe. Les deux personnages principaux, Thérèse et Marie Colombe, sont pensionnaires chez les bonnes soeurs. Elles nouent très vite une amitié salvatrice et unique. Tous les sépare: leur milieu, leur éducation, leur façon de s’exprimer et pourtant leur amitié perdurera après le pensionnat. Sur fond de vieille France à papa années 60, misogyne et étriquée ces filles vont découvrir les tampons, les Beatles et les hippies.
Aucune nostalgie pour cet France pré 68 mais un regard tendre sur l’amitié et l’adolescence. Cette joie de braver les interdits et l’envie de s’affirmer et d’exister malgré un quotidien rythmé par la vaisselle, la messe et les sermons des bonnes soeurs.
On peine à se souvenir que c’était il y a un demi siècle, cela parait incroyable, tous ces tabous sur les règles, les relations sexuelles et le corps des femmes. Les femmes qui étaient enfermées et conditionnées dès le plus jeune âge pour être les meilleurs épouses possibles, les femmes au foyer les plus parfaites et les vierges les plus pures pour leur mariage.
Cet album est bourré d’humour, on s’attache à ces jeunes pousses qui tentent de s’amuser, s’exprimer et vivre malgré les interdits.
Les anecdotes touchent justes et l’on retrouve un peu de jeunesse auprès des pitreries de ces jeunes filles en fleur, Cestac a elle même séjourné en pension et ses planches témoignent de cette période. Les bandes s’apparentent à des photos sépias un peu ternes, pour l’épanouissement des jeunes filles et mai 68 tout s’illumine et se colore. Comme souvent Cestac dénonce la religion qui emprisonne et nie la féminité et l’épanouissement, Jean Teulé préface l’ouvrage et nous laisse espérer un printemps prochain fleuri et lumineux.
http://www.culture-chronique.com
Aucune nostalgie pour cet France pré 68 mais un regard tendre sur l’amitié et l’adolescence. Cette joie de braver les interdits et l’envie de s’affirmer et d’exister malgré un quotidien rythmé par la vaisselle, la messe et les sermons des bonnes soeurs.
On peine à se souvenir que c’était il y a un demi siècle, cela parait incroyable, tous ces tabous sur les règles, les relations sexuelles et le corps des femmes. Les femmes qui étaient enfermées et conditionnées dès le plus jeune âge pour être les meilleurs épouses possibles, les femmes au foyer les plus parfaites et les vierges les plus pures pour leur mariage.
Cet album est bourré d’humour, on s’attache à ces jeunes pousses qui tentent de s’amuser, s’exprimer et vivre malgré les interdits.
Les anecdotes touchent justes et l’on retrouve un peu de jeunesse auprès des pitreries de ces jeunes filles en fleur, Cestac a elle même séjourné en pension et ses planches témoignent de cette période. Les bandes s’apparentent à des photos sépias un peu ternes, pour l’épanouissement des jeunes filles et mai 68 tout s’illumine et se colore. Comme souvent Cestac dénonce la religion qui emprisonne et nie la féminité et l’épanouissement, Jean Teulé préface l’ouvrage et nous laisse espérer un printemps prochain fleuri et lumineux.
http://www.culture-chronique.com
Comme souvent avec Florence Cestac on est plongé dans un univers féminin et féministe. Les deux personnages principaux, Thérèse et Marie Colombe, sont pensionnaires chez les bonnes soeurs. Elles nouent très vite une amitié salvatrice e…

vincent
Publié le
Avec ce ton qui lui est propre et qui a plus que légitimé son succès, Florence Cestac nous raconte une année en internat fin des 50's.
En grande partie inspiré de son expérience personnelle, elle nous offre ce récit drôle et sincère, pour toute génération, pour se souvenir et avancer !
En grande partie inspiré de son expérience personnelle, elle nous offre ce récit drôle et sincère, pour toute génération, pour se souvenir et avancer !
Avec ce ton qui lui est propre et qui a plus que légitimé son succès, Florence Cestac nous raconte une année en internat fin des 50's.
En grande partie inspiré de son expérience personnelle, elle nous offre ce récit drôle et sincère, …
En grande partie inspiré de son expérience personnelle, elle nous offre ce récit drôle et sincère, …

Francois
Publié le
Marie-Colombe et Thérèse ont 13 ans lorsqu’elles se rencontrent à Honfleur au pensionnat des Oiseaux. Malgré leurs origines différentes les deux jeunes filles deviennent inséparables et font les 400 coups dans le vénérable pensionnat.