XIII tome 28 - Cuba, où tout a commencé

Souffrant d’une amnésie contrôlée, XIII va revenir à Cuba, là où tout a commencé. Les aficionados de la série ont dû attendre deux années pour en savoir un peu plus sur leur héros. Toujours un bon divertissement.

La série demeure néanmoins une véritable BD d’aventure mâtinée de thriller géopolitique. De l’action, des coups d’éclat et les derniers joujoux technologiques des services de renseignements, la recette de tout bon James Bond est appliquée à la lettre. Chaque boulon est à sa place et chaque mèche de cheveux bien peignée, Youri Jigounov orchestre l’ensemble aussi impeccablement qu’efficacement. XIII reste la référence du genre, stéréotype et poncif y compris.

Daniel

J'appréhendais quelque peu la teneur du scénario de ce xième volume de XIII car plus leur nombre croît, plus le scénariste doit se gratter l'occiput pour imaginer une suite plausible et pas trop emberlificotée pour le lecteur ! Au bout du compte, il n'y est pas trop mal arrivé mais il serait sage de clôturer la série lors du prochain album avant que cela ne finisse par lasser.

Rien d'original dans le scénario, mais on passe un bon moment avec un retour à Cuba et donc de l'époque ou on l'appelait El Cascador; Le remplaçant de Vance, Jigounov, fournit un bon travail et ses planches sont réussi dans la continuité de la série.
Hâte de voir la suite de ce diptyque pour finir à Moscou.

DOGY

XIII est une valeur sur pour l'éditeur mais là on tourne en rond : un coup je me rappelle un coup j'ai tout oublié, on ne reconnait plus notre amnésique préféré. Malheureusement je crois qu'on a fait le tour, il va peut être falloir passer à autre chose, à innover.

hjl81

c'est une bonne suite avec des retours inintéressants

La série commence à tirer en longueur avec ce deuxième cycle. Des rappels, une mémoire à peine retrouvée qui est effacée et contrôlée par une puce. Le scénario tourne en rond avec des rappels de son passée pour XIII.
A voir si le prochain tome à Moscou va apporter quelque chose de neuf à cette série.

Un nouvel opus de ce nouveau cycle décidément bien sombre.
On ne reconnait pas ou plus notre héros, on le perd même par bien des aspects.
Le scénario demeure intéressant mais s'enlise dans des dérives très politiques dont l'intérêt peut laisser dubitatif...
Le graphisme reste relativement fidèle.