The scumbag tome 1 - Cocaïnefinger

The Scumbag, une série qui démarre en trombe, avec un dessin dynamique sans fausses notes de Lewis Larosa, superbement colorisé par Morino Dinisio. Des dialogues incisifs truffés de punchlines qui font mouche, des personnages pittoresques et loufoques, le tout pour servir une intrigue somme toute assez simple, mais qui permet justement de mettre en scène de manière hautement divertissante tous les ingrédients susnommés. On a hâte de découvrir la suite pour suivre la trajectoire délirante de ce truculent Scumbag.

Juste un énorme délire. Un récit assez barré et complètement con (à l'image de son "héros"). C'est absolument génial si on accroche à l'ambiance, sinon, ça reste juste un récit super héroïque très bas front. De mon côté, j'adhère totalement et je me suis vraiment éclaté à lire cette histoire d'un débile profond resté bloqué dans le sex, drugs and rock & roll.
J'aurai juste été un poil plus loin dans l'utilisation des pouvoirs, finalement assez en retrait.
Chaque chapitre est illustré par un dessinateur différent, bien qu'ils n'aient pas tous le même style, le changement entre chaque chapitre est assez léger pour ne pas être perdu sur les designs, bien aidé par le coloriste qui permet de conserver une certaine unité.

banzaihou

Trash mais vraiment très drôle, un premier tome a prix attractif, un dessin excellent, un scenario très drôle (de très bonne idées).
Un album surprenant et un anti-héro au sommet de la nullité qui finalement malgré les tares qui l'affublent (avare, drogué, pervers sexuel, fainéant,...) s’avère cacher du remord et de l'altruiste malgré sa bêtise.

Un vrai ouragan dans l'univers comics.