Métal Hurlant tome 2 - 1975-1984 : Le nouveau visage de l'imaginaire
x.charCodeAt(0))))" data-href="aHR0cHM6Ly93d3cuYmRmdWd1ZS5jb20vY2F0YWxvZ3NlYXJjaC9yZXN1bHQvP3E9IEVua2kgQmlsYWw="> Enki Bilal (Scénario, Dessin) | Caza (Dessin) | Moebius (Dessin) | Jacques Lob (Scénario) | Jean-Claude Gal (Dessin) | x.charCodeAt(0))))" data-href="aHR0cHM6Ly93d3cuYmRmdWd1ZS5jb20vY2F0YWxvZ3NlYXJjaC9yZXN1bHQvP3E9IFRlZCBCZW5vaXQ="> Ted Benoit (Dessin) | François Schuiten (Dessin) | Jean-Pierre Dionnet (Scénario, Autres) | Philippe Druillet (Scénario, Dessin) | Paul Gillon (Scénario, Dessin) | Chantal Montellier (Scénario, Dessin) | Serge Clerc (Scénario, Dessin) | Jean-Michel Nicollet (Dessin) | Luc Schuiten (Scénario) | Jean-Claude Mézières (Scénario, Dessin) | Michel Crespin (Scénario, Dessin) | Angus McKie (Scénario, Dessin) | Denis Sire (Scénario, Dessin) | Robert Crumb (Scénario, Dessin) | Sergio Macedo (Scénario, Dessin) | x.charCodeAt(0))))" data-href="aHR0cHM6Ly93d3cuYmRmdWd1ZS5jb20vY2F0YWxvZ3NlYXJjaC9yZXN1bHQvP3E9UGhpbGlwcGUgUGljYXJldA==">Philippe Picaret (Scénario) | François Bazzoli (Scénario) | x.charCodeAt(0))))" data-href="aHR0cHM6Ly93d3cuYmRmdWd1ZS5jb20vY2F0YWxvZ3NlYXJjaC9yZXN1bHQvP3E9IERhbiBPJ0Jhbm5vbg=="> Dan O'Bannon (Scénario) | x.charCodeAt(0))))" data-href="aHR0cHM6Ly93d3cuYmRmdWd1ZS5jb20vY2F0YWxvZ3NlYXJjaC9yZXN1bHQvP3E9w4lkaXRoIFpoYQ==">Édith Zha (Scénario) | Nicole Claveloux (Dessin) | Alain Voss (Scénario, Dessin) | Alias (Scénario, Dessin) | Vaughn Bodé (Scénario) | x.charCodeAt(0))))" data-href="aHR0cHM6Ly93d3cuYmRmdWd1ZS5jb20vY2F0YWxvZ3NlYXJjaC9yZXN1bHQvP3E9TWFyYyBDYXJv">Marc Caro (Scénario, Dessin)
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Avis et notes
J'ai connu et lu ce merveilleux magazine à la fin des années 1970.
J'étais ado et dévorais avidement chaque numéro et son lot de fantastiques BD originales et de chroniques aussi hurlantes que métalliques !
Jean-Pierre Dionnet était un génie. Avec ses comparses Druillet, Moébius et Basile Farkas, il avait réussi l'exploit de créer un magazine totalement indépendant, décalé vis-à-vis de l'existant de l'époque ou la liberté d'expression, la création, la créativité et le plaisir des auteurs sont bien réels. Ici, pas de commande. Chacun est libre. Pas de chef (ça changera par la suite).
Chaque BD est précédée de sa mise en situation et agrémentée d'anecdotes truculentes sur la genèse des planches, les auteurs et le contexte.
A mon âge, on à le droit d'être passéiste et de regretter que personne en France n'ai repris un tel flambeau.
J'apprécie beaucoup que ce tome 2 (en fait le premier de la série des rééditions) est imprimé sur du papier ordinaire, loin des papiers épais et glacés qui caractérisent les grandes productions éditoriales.
Métal était un "journal". Pas un magazine de salle d’attente. Sans code barre. Contournant la censure de l'époque en apposant la mention "pour adulte". Et ça marchait !
Et ces couvertures ! Il n'y a pas d'équivalent. Bien entendu, il serait absurde de prétendre que tout est bon. A chacun de se faire des idées.
Mais l'autre intérêt, c'est de suivre l'évolution graphique et scénaristique des auteurs. Il faudra pour cela lire les tomes suivants.
J'avais prêté ma collec' à l'ami de ma cousine. Il ne me l'a jamais rendue et depuis, je désespérais de retrouver un jour ces précieux témoignages.
Alors, oui et 100 fois oui : c'est un must pour les vieux nostalgiques et une claque pour les plus jeunes qui y découvriront ce que liberté de création veut dire et en prendront plein les yeux et l'esprit avec ces as du pinceau, de l'encre, de l'aérographe, du petit point et de la hachure (noir et blanc ou couleurs directes)
On ne peut pas oublier une illustration de Philippe Druillet. Ou la superbe collaboration entre Dan o'Bannon et Moebius. Ou les débuts de Serge Clerc et la folie graphique d'un Caza ou d'un Enki Bilal, même Marc Caro y va de ses planches subtiles (oui, celui des films Jeunet-Caro)
Dernier détail, mais pas le moindre, on en a largement pour son argent !
Ce numéro (et les suivants) va logiquement trouver sa place au milieu de mes BD couvertures cartonnées souples de la grande époque des Humanos.
J'ai connu et lu ce merveilleux magazine à la fin des années 1970.
J'étais ado et dévorais…
Quant aux dessins, mettez du Bilal ou du Druillet, du Caza, et forcément, c'est génial !!
Et on retrouve là aussi des articles revenant sur la jeunesse du magazine et le contexte global de la BD (française essentiellement, ponctuellement étrangère), voire de la SF, avec des interview des fondateurs de Métal. Passionnant !