La mondaine tome 1

4,0

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  • Didier de BD fugue Besançon

    Encore un excellent scénario de Zidrou servi par le non moins excellent dessin de Jordi Lafebre. An 1937, un jeune flic va intégrer la fameuse brigade mondaine à Paris.
    Cette histoire sera en 2 tomes.

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  • Thierry de BD fugue Annecy

    De l'atmosphère et du pittoresque. Excellent dessin, par ailleurs.

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  • Céline de BD fugue Besançon

    Zidrou et Lafebre nous dépeignent le quotidien de la brigade des mœurs dans le Paris des années 30.
    Entre interrogatoires musclés et planques ratées, la "mondaine", comme ils l'appellent, voient passer toute sorte de monde et surtout d'enquêteurs. Eux aussi ont leurs secrets, notamment le jeune Aimé tout juste muté.
    Un excellent premier tome pour ce diptyque, entre polar et scènes cocasses, tout y est !

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  • Benoît Cassel de planetebd.com

    En 1937, les premiers pas d’Aimé Louzeau au sein de « La Mondaine », la brigade des mœurs. Le portrait d’un inspecteur au passé familial singulier. Sainement naïf, animé, sensible, touchant. Encore une fois...

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  • Phibes de Sceneario.com

    Une très bonne partie qui nous pousse dans des retranchements bardés de vices (autrement il n'y aurait pas de police) et qui appelle un déroulement futur entièrement insoupçonné. Connaissant le scénariste, il ne fait aucun doute que celui –ci va inéluctablement nous surprendre ! Rendez-vous pour cela en août 2014.(...)

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  • Jviel de Un amour de BD

    Après Lydie, Zidrou et Lafebre reviennent avec une nouvelle pépite. Voyage en apnée dans le petit monde interlope de la brigade des moeurs dans les années 30 à Paris, ils nous invitent à suivre Aimé, jeune inspecteur à la découverte des autres et de lui-même. Simple, tout en nuances et empathie, ce premier épisode (sur deux) est un vrai coup de coeur !

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  • Benjamin Roure de Bodoï

    La montée en puissance du récit jusqu’à la séquence finale de ce premier tome (sur deux) est parfaite, et l’on referme l’album envoûté, secoué. Le dessin de Jordi Lafebre (son complice sur Lydie) n’y est pas pour rien : son trait classique et enlevé est joliment soutenu par une mise en couleurs toujours juste, et quelques saillies expressionnistes dans les décors qui pimentent l’ensemble. Une réussite.

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