Faut pas prendre les cons pour des gens tome 2

Emmanuel Reuzé (Dessin, Couleurs, Scénario) | Nicolas Rouhaud (Scénario)

4.75/5
BDFugue loves
Parution 7 oct. 2020
Pages 56
Format Couverture rigide
Genre Humour BD
Éditeur FLUIDE GLACIAL
Résumé
Succès surprise de 2019 (60 000 ex. GfK), Faut pas prendre les cons pour des gens revient en octobre pour un tome 02 toujours aussi absurde, hilarant et terriblement efficace. En ces temps où tout le monde se demande si l'on peut encore rire de tout, Reuzé et Rouhaud font fît de ces questions et nous offre un bijou d'humour noir et absurde que n'aurait pas renié Desproges. Chaînon manquant entre l'implacable lucidité des Idées noires et l'absurdité de Fabcaro, cette série fera date dans l'histoire de la BD.

Détails

Avis et notes

4,75 8 notes
5 étoiles 75%
4 étoiles 25%
3 étoiles 0%
2 étoiles 0%
1 étoile 0%
Emilie
Emilie Publié le Achat vérifié
5/5
Une BD décapante. Humour caustique, normal, c'est Fluide Glacial. J'adore. Je vous la conseille, tout comme le tome 1.
A. Perroud
A. Perroud Publié le
4/5
En humour, tout est question de dosage. Dans le cas présent, les auteurs se montrent extrêmement justes, tant dans le déroulement des gags que dans le timing des chutes. Pour être totalement honnête, ils ont aussi été bien aidés par la bêtise commune que nous partageons tous pour nourrir leur inspiration. Hilarant, mais aussi effrayant par moments, Faut pas prendre les cons pour des gens est peut-être la meilleure réponse afin de faire face à la réalité et son avalanche de nouvelles déprimantes. Souriez, ça pourrait être tellement pire...
En humour, tout est question de dosage. Dans le cas présent, les auteurs se montrent extrêmement justes, tant dans le déroulement des gags que dans le timing des chutes. Pour être totalement honnête, ils ont aussi été bien aidés par l…
Jean-Michel Gouin
Jean-Michel Gouin Publié le
4/5
A raison de quatre ou six cases par planche, jamais plus, portées par un dessin sobre et réaliste, jouant sur le dédoublement de ces mêmes cases, sur le décalage entre dialogues et situations, cet album appuie là où ça fait mal. A sa lecture, on pense à d’autres grands du non sense ou de l’humour noir : Les Monty Python au cinéma, un Desproges sur la scène, les Goossens, Franquin, Fabcaro et autres Alexis au crayon.
A raison de quatre ou six cases par planche, jamais plus, portées par un dessin sobre et réaliste, jouant sur le dédoublement de ces mêmes cases, sur le décalage entre dialogues et situations, cet album appuie là où ça fait mal. A sa l…