J'ai juste regretté l'absence de Sigisbert, le jeune preshaun, parce que je l'aime bien.

Difficile de croire que l’on vient d’achever la chronique du huitième tome d’Ekhö tant l’album parvient à conserver tout ce qui faisait le charme du premier tome de la série : des personnages joyeusement barrés, des dialogues truculents, le dessin époustouflant d’Alessandro Barbucci, le scénario déjanté d’Arleston et, surtout, cet univers savoureux et rafraîchissant, copie déformée du notre, qui n’en finit plus de nous enchanter et de nous enthousiasmer… Au programme de la Sirène de Manhattan: un dîner aux chandelles, un meurtre sordide, une enquête pleines d’action et de rebondissements et un complot machiavélique! Autan dire que comme de coutume, Fourmille et Yuri ne vont pas chômer!

Mélange de très bon dessin, bien coloré, avec une touche d'humour, cette série se laisse agréablement lire et relire.
Ce coup ci notre héroïne, Fourmille, est habitée par l'esprit d'un sommelier assassiné. Une nouvelle enquête dans le milieu du vin avec un nouvel ennemi.

Cathy

Moi j’adore. Pleins de ressemblances avec notre monde… mais pourtant différentes.
Très sympa