Eat and love yourself
Sweeney Boo (Scénario, Dessin)
Parution 5 févr. 2021
Genre Roman graphique
Éditeur ANKAMA
Résumé
Mindy a 25 ans et travaille dans un café de Montréal. Timide et mal dans sa peau, elle souffre d'un trouble du comportement alimentaire depuis l'enfance. Un soir, pour satisfaire une crise de boulimie, elle achète une tablette de chocolat qui va changer sa vie...
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Eat and love yourself
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Eat and love yourself
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Présence de BDthèque
Publié le
Le dispositif qui permet à Mindy de revoir des scènes de son passé apparaît comme évident : en comblant une envie irrépressible de confortement par la nourriture, elle revient à des moments ayant généré des ressentis qui se sont durablement inscrits en elle. Arrivée à la fin, le lecteur regrette de quitter Mindy, et ressent une pointe de frustration (sans pour autant aller se jeter sur une tablette de chocolat) lorsque le récit s'arrête sur un pré-diagnostic qui n'est qu'embryonnaire.
Le dispositif qui permet à Mindy de revoir des scènes de son passé apparaît comme évident : en comblant une envie irrépressible de confortement par la nourriture, elle revient à des moments ayant généré des ressentis qui se sont durabl…
ginevra
Publié le
De beaux dessins, mais le sujet des troubles alimentaires et du fait de ne pas s'aimer est traité un peu trop légèrement.
Oliver Pratt
Publié le
Car à trop vouloir cocher toutes les cases des troubles du comportement alimentaire (obsession de la balance et du moindre bourrelet, malbouffe, crise de boulimie, vomissements, timidité, rejet des autres, entourage toxique, etc.), l’autrice perd l’empathie du lecteur pour un personnage principal qui devient irritant. À trop prêcher l’acceptation de soi et blâmer l’entourage, elle oublie aussi de responsabiliser son héroïne pour ces propres choix. Pas sûr, donc, que le message soit le bon au final.
Car à trop vouloir cocher toutes les cases des troubles du comportement alimentaire (obsession de la balance et du moindre bourrelet, malbouffe, crise de boulimie, vomissements, timidité, rejet des autres, entourage toxique, etc.), l’a…
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Présence de BDthèque
Publié le
Le dispositif qui permet à Mindy de revoir des scènes de son passé apparaît comme évident : en comblant une envie irrépressible de confortement par la nourriture, elle revient à des moments ayant généré des ressentis qui se sont durablement inscrits en elle. Arrivée à la fin, le lecteur regrette de quitter Mindy, et ressent une pointe de frustration (sans pour autant aller se jeter sur une tablette de chocolat) lorsque le récit s'arrête sur un pré-diagnostic qui n'est qu'embryonnaire.
Le dispositif qui permet à Mindy de revoir des scènes de son passé apparaît comme évident : en comblant une envie irrépressible de confortement par la nourriture, elle revient à des moments ayant généré des ressentis qui se sont durabl…
ginevra
Publié le
De beaux dessins, mais le sujet des troubles alimentaires et du fait de ne pas s'aimer est traité un peu trop légèrement.
Oliver Pratt
Publié le
Car à trop vouloir cocher toutes les cases des troubles du comportement alimentaire (obsession de la balance et du moindre bourrelet, malbouffe, crise de boulimie, vomissements, timidité, rejet des autres, entourage toxique, etc.), l’autrice perd l’empathie du lecteur pour un personnage principal qui devient irritant. À trop prêcher l’acceptation de soi et blâmer l’entourage, elle oublie aussi de responsabiliser son héroïne pour ces propres choix. Pas sûr, donc, que le message soit le bon au final.
Car à trop vouloir cocher toutes les cases des troubles du comportement alimentaire (obsession de la balance et du moindre bourrelet, malbouffe, crise de boulimie, vomissements, timidité, rejet des autres, entourage toxique, etc.), l’a…
Korail
Publié le
Mindy a 27 ans et souffre de troubles du comportement alimentaire. Un soir, un message sur une tablette de chocolat « Eat and love yourself » va initier une introspection : à travers des aller-retour entre le présent et les scènes marquantes de son passé, on la suit dans sa recherche d'explications et d'acceptation.
Mindy a 27 ans et souffre de troubles du comportement alimentaire. Un soir, un message sur une tablette de chocolat « Eat and love yourself » va initier une introspection : à travers des aller-retour entre le présent et les scènes marq…
Céline
Publié le
Un album atypique, drôle, dur, touchant, qui parlera à toutes les femmes mais pas que. La jeune Mindy a depuis toujours une relation amour-haine avec son corps et grâce à une barre chocolatée lui permettant de revivre des moments clefs de sa vie, elle pourra enfin se libérer et peut être, enfin, s'accepter.
Un album atypique, drôle, dur, touchant, qui parlera à toutes les femmes mais pas que. La jeune Mindy a depuis toujours une relation amour-haine avec son corps et grâce à une barre chocolatée lui permettant de revivre des moments clefs…
Gaëlle
Publié le
J’ai tout aimé dans cet album. L’extraordinaire illustration de @sweeney_boo qui donne à ses personnages une incroyable bouille et une dégaine fabuleuse.
Et j’ai réellement été touchée par cette fille dévorée par ses immenses lunettes qui lui bouffent le visage.
C’est un album plein d’espoir et de bienveillance envers tous ceux qui souffrent de troubles alimentaires.
C’est exactement ce que j’aime comme lecture : être surprise par le dessin et touchée par l’histoire et ses personnages.
Ici c’est donc carton plein.
Et j’ai réellement été touchée par cette fille dévorée par ses immenses lunettes qui lui bouffent le visage.
C’est un album plein d’espoir et de bienveillance envers tous ceux qui souffrent de troubles alimentaires.
C’est exactement ce que j’aime comme lecture : être surprise par le dessin et touchée par l’histoire et ses personnages.
Ici c’est donc carton plein.
J’ai tout aimé dans cet album. L’extraordinaire illustration de @sweeney_boo qui donne à ses personnages une incroyable bouille et une dégaine fabuleuse.
Et j’ai réellement été touchée par cette fille dévorée par ses immenses lunettes…
Et j’ai réellement été touchée par cette fille dévorée par ses immenses lunettes…
Benoit
Publié le
Une critique aisée serait de dire que c'est une bd qui se dévore... mais ne tombons pas dans la facilité, car cet album mérite beaucoup mieux tellemnt j'ai aimé. Avec son dessin aussi écorché que son héroïne, on est obligatoirement touché par son "mésamour" d'elle-même tant elle ne supporte pas son image qu'elle et les autres lui renvoient. C'est avec brio que Sweeney Boo use de flashback pour faire avancer Mindy, nous entraînant aisément à sa suite. Un joli message pour un très joli album
Une critique aisée serait de dire que c'est une bd qui se dévore... mais ne tombons pas dans la facilité, car cet album mérite beaucoup mieux tellemnt j'ai aimé. Avec son dessin aussi écorché que son héroïne, on est obligatoirement tou…
