L'homme qui ne disait jamais non

3,8

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  • Thierry de BD fugue Annecy

    Si l'intrigue est pour le moins "capillotractée", les dialogues sont vifs et les péripéties amusantes. On ne s'ennuie pas, et le dessin est très agréable !

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  • Dominique de BD fugue Grenoble

    Violette, hôtesse de l'air, prépare un diplôme de profiler et découvre au cours d'un vol un passager troublant : Etienne, frappé d'amnésie, un homme au passé vierge. Etienne devient un sujet d'étude passionnant tout autant qu'une victime qu'il faut aider à recouvrer sa mémoire. Un passé vierge ? pas vraiment...
    Cet album fonctionne comme un puzzle psychologique captivant !

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  • Gaëlle de BD fugue Annecy

    Intrigant voyage dans la mémoire de Simon revenu complètement amnésique de son dernier voyage. Aidé par une hôtesse de l'air, il part à la recherche de son passé. Jusqu'au bout le lecteur se demande si Simon est un meurtrier ou pas.
    Une BD bien menée et rythmée dans laquelle l'ennui n'est pas de sortie.
    

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  • A. Perroud de BDGest

    Au final, L'homme qui ne disait jamais non déçoit à cause de son contenu brouillon. C'est vraiment dommage, car le style réaliste, extrêmement léché et agréablement mis en couleurs, s'avère parfaitement en place et des plus esthétiques.

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  • Benoît Cassel de planetebd.com

    Violette, hôtesse de l'air et étudiante en psychologie, fait la rencontre d'un passager amnésique. La jeune femme pétillante va l'aider à retracer le fil de son histoire. Un one-shot prenant et bien construit.

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  • Eric de LA BANDE DU 9

    L’amnésie est douloureuse à vivre mais parfois elle permet de formater le passé. «L’homme qui ne disait jamais non» en a fait les frais. Une comédie policière prenante et source de réflexion

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  • vedge de BD Sanctuary

    On peut qualifier cette BD de polar comique.Sur la trame un peu classique de l'amnésique meurtrier potentiel, les auteurs nous proposent une déambulation loufoque dans l'existence passée d'un homme que tout son ancien moi rebute.Peut-être en effet parce qu'il n'a jamais su dire non, il s'est retrouvé acculé, de compromis en soumission à une situation de non-retour l'obligeant à s'exiler loin pour construire une nouvelle vie.Mais l'affirmation de soi tardive peut blesser, voire pire.Le dessin est souvent simple, supprimant les décors pour les remplacer par des aplats de couleur, s'attachant de ce fiat plus aux personnages et à l'avancée de l'intrigue.La BD se déroule de ce fait à un rythme soutenu de thriller, plus d'aventures que psychologique.C'est bien vu, frais, vivant, amusant, un bon moment de lecture.

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  • Le Korrigan de Les Sentiers de l'Imaginaire

    Délicieuse comédie policière, à la fois drôle, légère et pétillante, cet album signé Tronchet et mis en image par le talentueux Olivier Balez, est particulièrement enthousiasmant. Porté par deux personnages antinomiques, l’un drôle et énergique, l’autre passif et un brin pessimiste, le scénario, fertile en rebondissements, s’avère particulièrement inventif et rafraîchissant… Laissez-vous entraîner par à la recherche de la mémoire de L’homme qui ne disait jamais non, vous ne le regretterez pas!

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  • Laurence Le Saux de Bodoï

    L’Homme qui ne disait jamais non est un polar autant qu’une comédie sociale, légèrement sentimentale. Sur un ton badin, Didier Tronchet (Jean-Claude Tergal, Le Fils du yéti, Vertiges de Quito…) trousse une histoire à tiroirs, compliquée mais assez haletante. Olivier Balez (J’aurai ta peau Dominique A, Topless…) réussit un graphisme clair et dynamique, aux aplats colorés fluides. In fine, leur aventure capillotractée amuse, et convainc presque.

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