Le mystère autour du Danthrakon enfin levé, un troisième tome où Tinpuz prend un rôle inattendu. Une trilogie plaisante et idéale pour débuter dans le monde de l’héroïque Fantasy.

Complété par un très chouette dossier où les textes d’Arleston sont illustrées par les superbes travaux de recherche d’Olivier Boiscommun, Le marmiton bienheureux referme une trilogie d’heroic-fantasy qui porte indéniablement la patte du scénariste qui avait fait un salutaire vent de fraîcheur sur le genre avec son Lanfeust de Troy… On retrouve d’ailleurs dans Danthrakôn tout ce qui faisait le charme de cette série : un univers magique, un (anti)héros atypique, un humour joyeusement potache, des personnages secondaires hauts en couleur et une révélation inattendue… Les aficionados d’Arleston ne pourront qu’être conquis par ce dernier tome, mis en image par un Olivier Boiscommun qui abandonne le temps de la série son style si caractéristique pour un dessin en apparence plus spontané…

Troisième et dernier tome de la série, Dantrakhon tient ses promesses ! On y retrouve son héros, Nuwan, un apprenti cuisinier possédé par un étrange grimoire dont l’encre coule désormais dans ses veines. Nuwan a enfin atteint le palais de la magicienne Lyreleï, mère de son amie Lerëh. Son but : lui demander de l’aide pour sortir le grimoire de son corps. Mais la puissante Lyreleï a des ambitions incompatibles avec celles que poursuit Nuwan et pour ce faire, s’est emparée du corps de sa propre fille. Cet ultime tome de la trilogie nous entraîne dans une aventure pleine de rebondissements et de surprises, le tout fortement empreint d’humour !

J'ai passé un excellent moment aux côtés de Nuwan et Lereï. Les auteurs m'ont permis de m'évader et le voyage était très divertissant. Une conclusion en happy end assez classique mais tout à fait correcte.Un moment de légèreté frais, drôle, original et divertissant, n'en demandez pas plus, c'est très bien comme ça !

Flieger

Bof bof bof. Je sais bien que c'est de l'Arleston, mais bon le scénario vire au grotesque puéril. Acheté pour ne pas rester en "rade" avec les deux premiers tomes sans fin. Avec les forêt d'Opale, Arleston a montré par le passé qu'il est capable de bien mieux.